Il y a près d'un an, le cabinet américain d'analyse Sanford Bernstein revoyait son objectif de cours sur la valeur Amazon au niveau symbolique et psychologique des 1000 dollars. Cette dernière valait à l'époque 680 dollars.
Aujourd'hui, avec un nouveau plus haut historique enregistré cette semaine à 923 dollars, cette recommandation à "surperformance" ne semble plus si utopiste bien au contraire. Comme le note à très juste titre le courtier BMO, l'action Amazon pourrait bondir de 33% grâce notamment à la capacité du groupe à doper son activité publicitaire.
En effet, Amazon a depuis longtemps misé sur la collecte massive d'informations sur le comportement d'achat des consommateurs. Cela permet à la société de commerce en ligne de s'offrir d'importantes opportunités de ciblage et de reciblage publicitaires pour les marques qu'elle propose. Cette stratégie se justifie compte tenu de l'implication des autres "GAFA" que sont notamment Facebook, ou Alphabet. La guerre des revenus publicitaires est clairement lancée !
D'après le courtier BMO, l'activité publicitaire d'Amazon pourrait atteindre les 150 milliards de dollars à terme soit un gain de près de 300 dollars par action. C'est à ce titre que BMO relève son objectif de cours à 1200 dollars dorénavant.
Graphiquement, malgré un repli marqué lors de ces deux dernières séances de près de 2%, le titre reste dans un trend nettement haussier. A terme, le potentiel apparaît bien présent, l'objectif des 1000 dollars dans un premier temps reste de mise (soit un gain potentiel de 10%). Il conviendra toutefois de ne pas être trop gourmand à l'approche de ce seuil psychologique et de privilégier une prise de bénéfice.
Aujourd'hui, avec un nouveau plus haut historique enregistré cette semaine à 923 dollars, cette recommandation à "surperformance" ne semble plus si utopiste bien au contraire. Comme le note à très juste titre le courtier BMO, l'action Amazon pourrait bondir de 33% grâce notamment à la capacité du groupe à doper son activité publicitaire.
En effet, Amazon a depuis longtemps misé sur la collecte massive d'informations sur le comportement d'achat des consommateurs. Cela permet à la société de commerce en ligne de s'offrir d'importantes opportunités de ciblage et de reciblage publicitaires pour les marques qu'elle propose. Cette stratégie se justifie compte tenu de l'implication des autres "GAFA" que sont notamment Facebook, ou Alphabet. La guerre des revenus publicitaires est clairement lancée !
D'après le courtier BMO, l'activité publicitaire d'Amazon pourrait atteindre les 150 milliards de dollars à terme soit un gain de près de 300 dollars par action. C'est à ce titre que BMO relève son objectif de cours à 1200 dollars dorénavant.
Graphiquement, malgré un repli marqué lors de ces deux dernières séances de près de 2%, le titre reste dans un trend nettement haussier. A terme, le potentiel apparaît bien présent, l'objectif des 1000 dollars dans un premier temps reste de mise (soit un gain potentiel de 10%). Il conviendra toutefois de ne pas être trop gourmand à l'approche de ce seuil psychologique et de privilégier une prise de bénéfice.
Transaction en cours:
Fin mai l'objectif fixé des 1000 dollars a été atteint. Depuis le 12 juillet dernier, le cours d'Amazon s'est émancipé de ce niveau psychologique pour atteindre hier un plus haut historique à 1083 dollars, faisant par la même occasion de Jeff Bezos sont PDG, l'homme de plus riche du monde (plus de 90 milliards de dollars) pendant quelques heures.
Quelques heures seulement car en cours de séance le titre s'est rétracté pour clôturer à -0.65% (soit 1046 dollars). Dans les échanges d'après séance à Wall Street, l'action chutait même de presque 3% suite à la publication (T2) d'un bénéfice par action inférieur aux attentes. Ce bénéfice net est tombé à 197 millions de dollars, (soit 40 cents par action), sur la période d'avril à juin, contre 857 millions de dollars, (soit 1,78 dollar par action), un an plus tôt. Cette chute de 77% du résultat net provient des nouvelles dépenses consenties par le groupe pour financer son développement, en particulier dans les infrastructures de livraison, les contenus audiovisuels et à l'international. Par exemple, le mois dernier, Amazon a annoncé le rachat de la chaîne de supermarchés biologiques Whole Foods pour plus de 13 milliards de dollars, une opération qui lui offrira une assise confortable dans la distribution alimentaire.
Malgré cette déception, le chiffre d'affaires à quant à lui progressé de plus de 25% (à 38 milliards de dollars), mieux qu'attendu par les analystes. Le titre reste graphiquement bien orienté avec des fondamentaux solides, le consensus des analystes garde d'ailleurs confiance sur cette valeur avec un objectif moyen de 1111 dollars à l'heure actuelle. Depuis le début d'année, le titre Amazon engrange près de 40% de progression.
Quelques heures seulement car en cours de séance le titre s'est rétracté pour clôturer à -0.65% (soit 1046 dollars). Dans les échanges d'après séance à Wall Street, l'action chutait même de presque 3% suite à la publication (T2) d'un bénéfice par action inférieur aux attentes. Ce bénéfice net est tombé à 197 millions de dollars, (soit 40 cents par action), sur la période d'avril à juin, contre 857 millions de dollars, (soit 1,78 dollar par action), un an plus tôt. Cette chute de 77% du résultat net provient des nouvelles dépenses consenties par le groupe pour financer son développement, en particulier dans les infrastructures de livraison, les contenus audiovisuels et à l'international. Par exemple, le mois dernier, Amazon a annoncé le rachat de la chaîne de supermarchés biologiques Whole Foods pour plus de 13 milliards de dollars, une opération qui lui offrira une assise confortable dans la distribution alimentaire.
Malgré cette déception, le chiffre d'affaires à quant à lui progressé de plus de 25% (à 38 milliards de dollars), mieux qu'attendu par les analystes. Le titre reste graphiquement bien orienté avec des fondamentaux solides, le consensus des analystes garde d'ailleurs confiance sur cette valeur avec un objectif moyen de 1111 dollars à l'heure actuelle. Depuis le début d'année, le titre Amazon engrange près de 40% de progression.