Le marché mondial du cacao traverse une période de fortes turbulences, alimentées par un enchevêtrement de facteurs environnementaux, politiques et économiques qui compromettent la stabilité des prix et l’approvisionnement futur. Le changement climatique constitue un défi majeur, avec des conditions météorologiques imprévisibles en Afrique de l’Ouest qui accroissent les risques de maladies et affectent directement les rendements. Les agriculteurs et les études scientifiques signalent une baisse notable de la production, attribuée à la hausse des températures. Sans un soutien significatif et des mesures d’adaptation, les cultivateurs redoutent une destruction des cultures dans la prochaine décennie.
Les tensions géopolitiques complexifient davantage la situation, notamment en ce qui concerne les prix à la ferme au Ghana et en Côte d’Ivoire. Au Ghana, les débats politiques se concentrent sur la nécessité de doubler la rémunération des agriculteurs pour honorer les promesses électorales et freiner l’incitation à la contrebande, alimentée par des prix plus élevés en Côte d’Ivoire. Cette disparité souligne la précarité économique de nombreux producteurs et les enjeux sécuritaires liés à une culture du cacao peu rentable.
Les fragilités de la chaîne d’approvisionnement aggravent ces défis. Le vieillissement des cacaoyers, la prévalence de maladies comme le virus du Swollen Shoot et le manque chronique d’investissements, dû à des prix historiquement bas, creusent un écart significatif entre les rendements potentiels et réels. Bien que les prévisions récentes suggèrent un possible excédent pour la saison 2024/25 après un déficit record, les contraintes liées à la pollinisation restent un obstacle majeur. Des études confirment que les rendements sont souvent limités par une pollinisation naturelle insuffisante. Par ailleurs, les prix élevés pèsent sur la demande des consommateurs et incitent les fabricants à envisager des reformulations, comme le reflète la baisse des volumes de broyage mondial du cacao.
Pour surmonter ces défis, une approche pluridimensionnelle, centrée sur la durabilité et la résilience, s’impose. Des initiatives favorisant une rémunération plus équitable des producteurs, des contrats à long terme, des pratiques agroforestières et une gestion améliorée des sols sont essentielles. Une collaboration renforcée à travers toute la chaîne de valeur, soutenue par des politiques gouvernementales favor marketplacesisant les pratiques durables et le respect des nouvelles réglementations environnementales, est cruciale pour surmonter cette période d’instabilité et garantir un avenir stable à la production de cacao et à ceux qui en dépendent.
Les tensions géopolitiques complexifient davantage la situation, notamment en ce qui concerne les prix à la ferme au Ghana et en Côte d’Ivoire. Au Ghana, les débats politiques se concentrent sur la nécessité de doubler la rémunération des agriculteurs pour honorer les promesses électorales et freiner l’incitation à la contrebande, alimentée par des prix plus élevés en Côte d’Ivoire. Cette disparité souligne la précarité économique de nombreux producteurs et les enjeux sécuritaires liés à une culture du cacao peu rentable.
Les fragilités de la chaîne d’approvisionnement aggravent ces défis. Le vieillissement des cacaoyers, la prévalence de maladies comme le virus du Swollen Shoot et le manque chronique d’investissements, dû à des prix historiquement bas, creusent un écart significatif entre les rendements potentiels et réels. Bien que les prévisions récentes suggèrent un possible excédent pour la saison 2024/25 après un déficit record, les contraintes liées à la pollinisation restent un obstacle majeur. Des études confirment que les rendements sont souvent limités par une pollinisation naturelle insuffisante. Par ailleurs, les prix élevés pèsent sur la demande des consommateurs et incitent les fabricants à envisager des reformulations, comme le reflète la baisse des volumes de broyage mondial du cacao.
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