L'histoire du trader qui a gagné 1 milliard de $ en 24h !
💥 Alors, imagine ça : un mec, George Soros, qui gagne un milliard de dollars… en une seule journée ! Ouais, un milliard en 24 heures, grâce à un pari risqué contre la livre sterling britannique. Soros n’a pas eu une enfance facile, loin de là. Il est né en Hongrie en 1930, en pleine Europe déchirée par la guerre. Très jeune, il a vu son pays sous l’emprise nazie et a survécu en cachant ses origines juives. Ce qu’il a traversé l’a endurci et, en quelque sorte, ça a forgé son mental pour les défis qu’il affronterait plus tard.
📝 Après la guerre, il part en Angleterre sans le sou et finit par étudier à la London School of Economics. Là-bas, il rencontre Karl Popper, un philosophe qui lui ouvre les yeux sur les marchés financiers : ils ne sont pas seulement des chiffres et des graphiques, ils sont dirigés par les émotions, l’incertitude, l’irrationnel. Soros prend ça comme une révélation : pour réussir, il faut comprendre la psychologie humaine, pas juste les stats.
👉 Il entre dans la finance, bosse dans des banques et, en 1969, lance son propre fonds, le Quantum Fund. Mais attention, son fonds n’est pas comme les autres : il parie sur tout – devises, matières premières, politiques monétaires – avec des prises de risques énormes. Ce gars-là est prêt à tout. Et ça paie ! Son fonds devient une machine de guerre, avec des rendements qui attirent des investisseurs du monde entier.
🤯 Le coup le plus dingue de Soros arrive en 1992, avec la livre sterling. À l’époque, l’Europe a mis en place le Mécanisme de Taux de Change Européen pour stabiliser les monnaies, mais tout se complique quand l’économie britannique bat de l’aile. La livre est liée au deutschemark, la monnaie allemande forte, mais le Royaume-Uni galère économiquement. Soros voit la faiblesse de la livre et réalise que la Banque d’Angleterre ne pourra pas la maintenir stable. Alors que tout le monde reste confiant, Soros, lui, y voit une opportunité.
👀 Après des analyses ultra-précises, il décide de « shorter » la livre sterling : il emprunte des livres, les vend, et parie que leur valeur va chuter. Plus elle chute, plus il peut les racheter à bas prix et empocher la différence. Soros est méthodique et rameute d’autres traders pour accentuer la pression. La Banque d’Angleterre tente de défendre la livre en injectant des milliards, mais c’est peine perdue. Soros tient sa position.
👉 Le 16 septembre 1992, le fameux "Mercredi Noir", la Banque d’Angleterre lâche prise, et la livre s’effondre. En quelques heures, Soros gagne un milliard de dollars, devenant une légende de la finance. Le Royaume-Uni, lui, subit un choc monumental, sa monnaie perd une énorme part de sa valeur, et la confiance des Britanniques en leur économie est anéantie. Mais cette crise pousse le pays à se réinventer, et à terme, l’économie britannique finit par rebondir grâce à une livre devenue plus compétitive.
🤯 Ce pari a fait de Soros l’homme qui a défié et vaincu une nation entière. Il n’a pas seulement gagné de l’argent, il a montré au monde entier qu’avec une stratégie solide et un peu de culot, même une institution puissante comme la Banque d’Angleterre pouvait tomber.
⁉️ Et-vous, connaissiez-vous son histoire ?! Dites-moi ce que vous en pensez en commentaires !
Deutschebank
Deutsche Bank - Une épaule tête épaule inversée en formationLes valeurs bancaires ont souffert fin 2018 avec des résultats décevants, particulièrement les banques d'investissement.
Cela a impacté les résultats des grands groupes associés qui sont pris en tenaille également sur la banque de détail avec des marges qui s'affaissent et une concurrence nouvelle venant des pure-players et des fintechs.
Elles ont cependant des armes et un crédit confiance en tant qu'établissement bancaire que n'ont pas tous ces nouveaux acteurs du marché. La bataille est donc engagée.
Sur le plan de l'analyse technique, le début d'année 2019 montre potentiellement pour Deutsche Bank (mais ce n'est pas la seule dans cette configuration) une figure de retournement dans une tendance qui reste cependant jusqu'à preuve du contraire baissière.
Tant que les cours oscillent dans le canal baissier, pas question d'acheter. Mais la rupture de la résistance pourrait donner lieu à des stratégies d'achats offensives à court terme. Des valeurs à suivre sur ces prochaines semaines.