Les différents types d'OBLIGATIONS en bourseUne obligation, c’est un prêt que tu fais à un État, une entreprise ou une banque. En échange, tu reçois des intérêts réguliers (les coupons) et, à l’échéance, tu récupères le capital. Plus l’émetteur est risqué, plus il doit payer cher pour emprunter.
1. Rappel simple : qu’est‑ce qu’une obligation ?
Une obligation, c’est un contrat très cadré :
un montant prêté (valeur nominale, par exemple 1 000 €) ;
un taux d’intérêt (coupon) et un calendrier de paiement (annuel, semestriel…) ;
une date de fin (maturité / échéance) à laquelle l’émetteur rembourse le capital.
Par rapport à une action, tu n’es pas “propriétaire” de l’entreprise, tu es créancier : tu dois être remboursé avant les actionnaires en cas de faillite. Le rendement vient des coupons + de la plus‑value ou moins‑value si tu revends l’obligation avant l’échéance.
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2. Les grands types d’obligations
On peut classer les obligations selon l’émetteur, la façon de payer les intérêts, ou la durée.
Par émetteur
Obligations d’État (souveraines)
Émises par les gouvernements :
En France : OAT (Obligations Assimilables du Trésor).
Aux États‑Unis : Treasury (Bills, Notes, Bonds).
En général : considérées comme moins risquées, donc rendement plus faible.
Obligations d’entreprises (corporate bonds)
Émises par des sociétés par actions pour se financer.
Plus risquées que les obligations d’État, donc coupons plus élevés.
En cas de faillite, les détenteurs d’obligations sont remboursés avant les actionnaires, mais après certains créanciers prioritaires.
Obligations émises par les banques
Exemple : certificats de dépôt ou dépôts à terme.
Montants de souscription souvent élevés (par exemple 150 000 € minimum), négociés sur le marché monétaire, pas forcément en bourse.
Le risque dépend de la solidité de la banque.
Par durée (maturité)
En pratique, on distingue :
Court terme : 0 à 2 ans.
Moyen terme : 2 à 10 ans.
Long terme : plus de 10 ans (20–30 ans typiquement pour certains emprunts d’État).
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3. Obligations d’État américaines : Bills, Notes, Bonds
Les États‑Unis sont un bon exemple pédagogique pour les maturités des obligations d’État :
Treasury Bills (“T‑Bills”)
Maturité très courte : de 1 mois à 1 an.
Vers la fin, tu reçois la valeur faciale (par ex. 1 000 $) à l’échéance.
Court terme, souvent sans coupon : on les achète à escompte (moins cher que 1 000 $) et on récupère 1 000 $ à la fin.
Treasury Notes (“T‑Notes”)
Maturité de 2 à 10 ans.
Coupons payés deux fois par an (semestriels).
Rendement en général inférieur aux très longues maturités, mais supérieur au court terme.
Treasury Bonds (“T‑Bonds”)
Maturité longue : 20 à 30 ans.
Coupons semestriels, plus élevés que ceux des T‑Notes pour compenser la durée et l’incertitude plus longues.
Très sensibles aux variations de taux d’intérêt (forte volatilité de prix).
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4. Obligations à taux fixe, taux variable, indexées
Obligations à taux fixe
Le coupon (par exemple 4% par an) est connu dès le départ et ne bouge pas.
Idéal pour un investisseur qui veut des revenus prévisibles.
En revanche, la valeur de marché de l’obligation bouge quand les taux d’intérêt du marché montent ou baissent.
Obligations à taux variable (floatings)
Les obligations à taux variable, ou “floating rate”, versent un coupon périodique qui dépend d’un taux de marché.
Le coupon est indexé sur un taux de référence (par exemple Euribor 6 mois, ou un autre taux interbancaire) + une marge.
Si le coupon est indexé sur 6 mois, l’investisseur perçoit, à chaque date de paiement, le taux de 6 mois constaté juste avant la date de versement, appliqué à la valeur nominale.
Exemple simplifié :
Taux de référence 6 mois : 2% ;
Marge : +1% ;
Coupon sur la période : 3% annualisé, proratisé à 6 mois.
Intérêt : ces obligations protègent mieux contre la hausse des taux, puisque le coupon suit le marché. L’inconvénient : les revenus sont moins prévisibles.
Obligations indexées sur l’inflation (idée clé)
Le capital ou le coupon (ou les deux) sont ajustés à l’inflation.
Objectif : protéger le pouvoir d’achat de l’investisseur sur le long terme.
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5. Obligations convertibles
Les obligations convertibles donnent au détenteur le droit (mais pas l’obligation) d’être remboursé en actions de la société émettrice au lieu de recevoir uniquement du cash à l’échéance.
Points essentiels :
La société fixe à l’avance :
le prix de conversion (prix auquel les obligations peuvent être converties en actions) ;
et/ou le nombre d’actions reçues pour une obligation.
Le détenteur possède une sorte “d’option d’achat” intégrée :
il n’est pas obligé de convertir ;
il choisit de convertir si le cours de l’action est intéressant (plus haut que le prix de conversion).
Si l’action monte fortement, l’investisseur peut gagner plus que sur une obligation classique, grâce à la hausse du cours de l’action. Si l’action stagne ou baisse, il peut décider de ne pas convertir et conserver son statut d’obligataire (avec remboursement du capital).
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6. Obligations à coupon zéro (zero‑coupon)
Les obligations à coupon zéro (zero‑coupon bonds) ne versent aucun coupon avant la maturité.
Aucun versement d’intérêts périodiques.
Les intérêts sont capitalisés et intégrés dans le prix d’émission / de remboursement.
Concrètement, elles sont émises à un prix inférieur à la valeur nominale, et remboursées à la valeur nominale à l’échéance.
Exemple :
Prix d’émission : 500 €.
Valeur nominale : 1 000 €.
Aucune distribution de coupon pendant la durée de vie.
À l’échéance, l’investisseur reçoit 1 000 €.
La plus‑value est de 500 € (1 000 – 500), qui représente les intérêts accumulés sur toute la période.
Attention : dans ton texte tu rajoutes “sans compter les coupons qu’il recevra aussi à l’échéance” ; pour une vraie obligation zéro coupon, justement, il n’y a pas de coupons distincts, tout est intégré dans la différence entre prix d’achat et remboursement. Si des coupons sont versés, ce n’est plus un “pur” zéro coupon.
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7. Ce qui détermine le prix d’une obligation
Le prix d’une obligation sur le marché secondaire (quand elle se négocie en bourse) n’est pas fixé au hasard. Il dépend principalement de :
Les conditions de marché (appétit pour le risque)
Quand les marchés actions vont très bien et que les investisseurs recherchent la performance, ils préfèrent les actions aux obligations.
Résultat : la demande pour les obligations baisse, leur prix peut reculer et leur rendement augmenter pour redevenir attractif.
En période de crise ou de stress (peur sur les marchés), les investisseurs cherchent des refuges : ils achètent plus d’obligations “sûres”, ce qui fait monter leurs prix. C’est un moyen de se couvrir et de contrôler le risque.
Les taux d’intérêt
Quand les taux d’intérêt montent :
Les nouvelles obligations émises offrent des coupons plus élevés.
Les anciennes obligations avec des coupons plus faibles deviennent moins attractives, donc leur prix baisse pour que leur rendement remonte au niveau du marché.
Quand les taux d’intérêt baissent :
Les nouvelles émissions offrent des coupons plus bas.
Les obligations existantes, avec des coupons plus élevés, deviennent plus recherchées, et leur prix monte.
Cette relation inverse entre taux d’intérêt et prix des obligations est fondamentale :
Taux d’intérêt ↑ → prix des obligations existantes ↓.
Taux d’intérêt ↓ → prix des obligations existantes ↑.
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8. Ne pas confondre valeur de l’obligation et coupon
Il faut distinguer clairement deux choses :
La valeur (le prix) de l’obligation :
Elle est négativement corrélée aux taux d’intérêt.
Quand les taux montent, la valeur de marché de l’obligation baisse.
Quand les taux baissent, la valeur de marché monte.
Le coupon (le montant des intérêts versés) :
Pour une obligation à taux fixe, le coupon en pourcentage de la valeur nominale est déterminé au départ.
Pour les émissions nouvelles, plus les taux du marché sont élevés, plus le coupon fixé pour les nouvelles obligations sera élevé.
On peut dire que le niveau général des coupons sur les nouvelles émissions est positivement corrélé aux taux d’intérêt.
En résumé :
Prix (valeur) d’une obligation en circulation ↔ taux : relation inverse.
Niveau des coupons sur les nouvelles obligations ↔ taux : relation directe.
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9. Qui émet les obligations ? (Corporate, États, banques)
1) Les sociétés par actions (corporate bonds)
Utilisent les obligations (corporate bonds) ou billets de trésorerie comme alternative aux actions pour se financer.
Plus risquées que les obligations d’État, donc offrent un rendement supérieur.
En cas de faillite :
Les détenteurs d’obligations (créanciers obligataires) sont remboursés avant les actionnaires.
Mais ils restent exposés au risque de défaut si l’entreprise est trop endettée ou en difficulté.
2) Les États (obligations souveraines)
Appelées :
Bons du Trésor, OAT, etc. en France.
Treasury en Italie / Espagne / USA avec leurs dénominations locales (Bills, Notes, Bonds…).
Considérées comme moins risquées (surtout les pays développés) → rendement plus faible.
Maturité :
Très court terme (Bills / bons du Trésor) : 1 mois à 1 an.
Moyen terme (Notes) : 2 à 10 ans.
Long terme (Bonds) : 20 à 30 ans.
3) Les banques et institutions financières
Dépôts à terme, certificats de dépôt, etc.
Montant de souscription souvent élevé, négociés sur le marché monétaire.
Risque variable selon la qualité de la banque.
Durée généralement courte à moyen terme (de quelques mois à quelques années).
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10. Durée et sensibilité au risque
La durée (maturité) influe aussi sur le risque et le rendement :
Court terme (0–2 ans) :
Moins sensible aux variations de taux.
Rendement plus faible, visibilité meilleure.
Moyen terme (5–10 ans environ) :
Sensibilité plus élevée aux taux.
Compromis rendement / risque temporel.
Long terme (plus de 10 ans, jusqu’à 20–30 ans) :
Très sensible aux variations de taux.
Rendements plus élevés pour compenser la durée et l’incertitude.
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11. Qui note le risque des émetteurs ? (Agences de notation)
Pour aider les investisseurs à évaluer le risque de crédit (la capacité de l’émetteur à payer ses coupons et rembourser le capital), il existe des agences de notation.
Les trois principales sont :
-S&P Global Ratings (Standard & Poor’s) ;
-Moody’s ;
-Fitch Ratings.
Elles notent les émetteurs (États, entreprises, banques) et aussi parfois chaque émission obligataire, avec une échelle allant de quelque chose comme :
AAA (qualité de crédit maximale, défaut très improbable)
jusqu’à
D (défaut avéré).
On parle souvent :
d’“Investment Grade” pour les notes de AAA à BBB (ou équivalent) ;
de “High Yield” ou “spéculatif” pour les notes en dessous de BBB (BB, B, CCC, etc.).
La note permet d’estimer rapidement le couple risque / rendement :
Bonne note (AAA, AA, A) → risque faible, rendement plus bas.
Mauvaise note (BB, B…) → risque élevé, rendement plus élevé.
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12. Synthèse pratique pour un trader / investisseur
Pour résumer les points clés en mode opérationnel :
Tu prêtes ton argent :
-à un État (plus sûr, moins rentable),
-à une entreprise ou une banque (plus risqué, plus rentable).
Tu choisis :
-la durée (0–2 ans, 2–10 ans, 20–30 ans),
-le type de coupon (fixe, variable, zéro, indexé inflation),
éventuellement une option (convertible en actions).
Tu surveilles :
-les taux d’intérêt (ils pilotent la valeur de marché des obligations) ;
-la qualité de crédit (agences de notation) ;
-le contexte macro (crise = flux vers les obligations, euphorie = flux vers les actions).
Tu ne confonds jamais :
-prix / valeur de l’obligation (corrélation négative avec les taux),
-et niveaux de coupons sur les nouvelles émissions (corrélation positive avec les taux).
Obligations
Surperformance du taux Obligataire US 2 ans contre 10 et 30 ans Bonjour;
Je vous présente ce graphique représentant la différence d'évolution, des Taux obligataire de 30/20 ans et 5/2 ans US; le tout comparer au SPX. Le taux a regarder est en bleu cian, c'est la courbe 2 ans donc court therme. Je me référe a elle, car c'est une anomalie de marché, que d'être plus rémunérer sur 2 ans que 30 ou 10 sur le marché obligataire, celons moi.
J'ai marquer d'une ligne Horizontale, les 4 rare moments ou, les taux courts therme dépassent tous les autres. Le 1er en 1989, après plusieurs recherches d'époque, le marché US était en flottement et le monde entier commençais a douter de la super puissance américaine après 6ans de Reggan. C'est le début de la planche a billet, les politique monétaire de cet évènement on était d'imprimer massivement , c'est pour cela que le marché a débuter une hausse doper par l'injection de liquidité.
2eme Back test : 2000 Début de l'essoufflement économique; prémices d'une respiration de marché importante.
3eme Back test : 2006 Début encore du ralentissement économique, juste avec crise des subprimes.
4eme Back test : 1 er Aout 2022, soit très récemment , c'est pour cela que je publie cette idée.
Que cela signifie celons vous, ce dépassement des taux a 2 ans face aux autres plus long ? Mais aussi, ce signal est il a prendre en compte actuellement ?
Je pense que ce signal n'est pas a prendre a la légère , il ce produit rarement, et il a souvent provoquer une chute des marchés, n'oublions pas que le marché des obligation est bien plus important que les marchés Financier en therme de volumes. De plus il est utiliser par les plus grosse mains pour ce edger, si les riskOFF ne remplissement plus leur rôle , ou va aller l'argent ? Dans le Dollars ? Donnez moi votre avis
Vision longterme : crise imminente, vers un nouvelle age d'or ?
Les fluctuations des taux d'intérêt et des obligations ont façonné l'histoire économique mondiale depuis des siècles. En examinant ces tendances sur le long terme, nous pouvons dégager des schémas récurrents et des leçons cruciales pour l'avenir financier de l'humanité.
Stagnation Millénaire :
Depuis le 14ème siècle, les taux d'intérêt ont oscillé entre des périodes de prospérité et des crises dévastatrices. Après une phase de stagnation relative au 14ème siècle, caractérisée par des taux bas, la peste noire et les conflits armés ont entraîné une brève hausse des taux à 20 % en 1414. La Renaissance a ensuite apporté une ère de progrès scientifique et culturel, marquée par une nouvelle baisse des taux. Cependant, la Révolution française et les guerres napoléoniennes ont à nouveau précipité une hausse des taux vers 18 % en 1760. La révolution industrielle a ensuite favorisé une période de paix relative et de développement économique. Puis plus récemment la crise pétrolière de 1980 à refait monter les taux à 16%. Internet et d'autres avancées technologiques récentes ont ouvert la voie à une ère d'optimisme. Maintenant on se pose la question d'une nouvelle crise mise en perspective avec des niveaux dettes difficilements supportables et des niveaux d'inflations ressentis comme en 1980...
Crise Imminente
Nous observons actuellement des signes alarmants indiquant une crise imminente. Le bénéfice moyen des entreprises tend vers zéro, ce qui suggère une faiblesse fondamentale dans le système économique actuel. De plus, le pouvoir d'achat du dollar et d'autres devises majeures est en déclin constant depuis leur création, ce qui soulève des préoccupations quant à la viabilité à long terme du système monétaire actuel. Enfin, la dette mondiale ne cesse de croître, évoquant des parallèles inquiétants avec les périodes de crise passées, comme celles des années 1400 et 1700.
Vers un Salut de l'Humanité et un Nouveau Système
Face à ces défis, il est impératif de repenser notre approche économique. Le système financier actuel apparaît de plus en plus fragile et sujet aux crises récurrentes. Il est peut-être temps d'envisager un nouveau système économique plus résilient, axé sur la durabilité et la sagesse collective.
En conclusion, en tirant parti des leçons du passé et en adoptant une vision ambitieuse pour l'avenir, nous pouvons surmonter les défis économiques actuels et construire un monde plus équitable et durable pour les générations à venir.
Cependant, si vous croyez en la possibilité de ce scénario, je vous encourage à réfléchir à la manière de vous protéger dès maintenant, notamment en investissant dans des obligations et en rejoignant ma communauté disponible via twitter.
le marché Obligataires US Un graphique pour expliquer la valorisation des obligations du trésors US.
Le cours des obligations à taux fixe évolue en sens inverse de l’évolution des taux et la rémunération des obligations à taux variable est fonction de l’évolution des taux sur le marché
Les investisseurs anticipent l'augmentation des taux directeurs de la FED, par conséquent, le cout de l'argent va augmenter et le taux de rendement des bons du trésor s'envolent.
Les nouvelles obligations deviennent plus intéressantes, le prix des anciennes obligations diminue.
De retour vers les plus bas historiquesLes rendements sur les obligations gouvernementales britanniques sont à nouveau dans des niveaux extrêmement bas historiquement.
La convergence des taux européens continue de jouer en défaveur des rendements sur ces obligations.
Cependant, le rendement sur 5 ans reste assez bas par rapport aux obligations à termes plus courts.
La divergence haussière que l'on peut remarquer sur le RSI (21, close) peut nous apporter quelques informations sur la correction à la hausse des rendements sur cette durée.
Le taux d'intérêt au Royaume-Uni est de 0.75%.
Il ne serait pas surprenant de voir une augmentation des rendements sur les obligations à 5 ans de maturité afin d'atteindre un niveau plus élevé ou plus proche des 0.75%.
OAT 10 ITALIEN. Retour à la normalAprès un fort rebond ses derniers mois sur l'obligation italienne. Je prévois à court terme une forte dernière remonter à 4 % pour se dégonfler très rapidement.
Il se peut que l'obligation ai déjà atteint un plus haut à 3.83 %. et retomber prochainement. Nous ferons attention à la force du marché sur l'indicateur RSI pour nous donner un signal de faiblesse ou de reprise à la hausse vers 4%.
En moyen terme, il est presque certain que l'obligation ne s'envolera pas comme prévu au dessus de 4%.
Bien à vous
DE10Y / D1 : Premiers signes de tensions à venir sur les taux.Etant toujours à la recherche de confirmation du contexte haussier hebdo (etape 1 de stratégie), je constate que le cadre technique en daily (etape 2) est en train de devenir favorable. Ce marché manque toutefois de signaux propres pour limiter le risque (etape 3). J'attends tjrs un breakout sinewave, et je reste à l'achat des signaux de plus court terme en 2H. Cependant on notera le double signal vendeur de la dernière bougie, qui m'invite à penser qu'un pullback et un range risque de se mettre en place pour qq jours. J'attends la formation du range pour reprendre de nouveaux achats (en vendant les contrats bunds à expiration décembre)
J'espère que cette analyse vous donnera des idées ! N'hésitez pas à "liker / commenter / partager / follower" ;)
Amicalement,
Phil













