Elon MUSK présente "Optimus"Le PDG de Tesla, Elon Musk, a dévoilé un prototype de robot humanoïde "Optimus" qui partage certains logiciels et capteurs d'IA avec les fonctions d'assistance à la conduite du pilote automatique de ses voitures.
Au début de la présentation de la Journée de l'IA 2022 de Tesla, Musk a reconnu qu'ils avaient "un gars en costume" l'année dernière, mais a promis quelque chose de beaucoup plus impressionnant !
Selon Musk, ce prototype peut faire plus que ce qui a été montré en direct, mais "la première fois qu'il a fonctionné sans attache, c'était sur cette scène".
Musk a prédit qu'il pourrait atteindre un prix "probablement inférieur à 20 000 dollars" et plus tard, lors d'une session de questions-réponses, il a expliqué que Tesla était très avancé sur l'IA et sur les actionneurs nécessaires à la robotique sur la base de l'expérience des voitures électriques.
Musk a déclaré que cela l'aiderait à mettre en production des robots capables et à commencer par les tester dans ses usines.
Il a affirmé que la différence entre la conception de Tesla et d'autres "démonstrations de robots humanoïdes très impressionnantes" est que l'Optimus de Tesla est conçu pour la production de masse.
Comme il l'a dit, une équipe de travailleurs a déplacé un prototype non ambulant hors de la scène derrière lui.
Initialement, les portes arrière de la scène se sont ouvertes pour révéler "C" sans habits que Tesla appelle "Bumble C" qui s'est avancé et a fait un mouvement de danse.
L'entreprise a montré quelques clips vidéo du robot effectuant d'autres tâches comme ramasser des cartons. L'équipe de Tesla a sorti un autre prototype montrant une version "très proche de la production" d'Optimus avec son corps entièrement assemblé mais pas entièrement fonctionnel,
qui a salué le public, montrant l'amplitude des mouvements de son poignet et sa main.
Ils ont révélé que le robot initial présenté avait été développé au cours des six derniers mois seulement. Discutant des obstacles qu'ils doivent surmonter pour passer du prototype à une conception fonctionnelle, ils espèrent "faire cela dans les prochains mois ou années".
Il contient une batterie de 2,3 kWh, fonctionne sur un SoC Tesla et dispose d'une connectivité Wi-Fi et LTE. Des démonstrations axées sur le traitement des articulations du robot, comme ses mains, ses poignets ou ses genoux, ont montré comment ils traitaient les données pour chaque articulation,
puis recherchaient les zones communes de chaque conception pour trouver une méthode utilisant seulement six actionneurs différents. Les mains de type humain sont une "conception d'inspiration biologique" qui, selon les ingénieurs,
les rend plus adaptées pour ramasser des objets de différentes formes et tailles, tenir un sac ou avoir une "prise de précision" sur de petites pièces.
Le logiciel Autopilot de Tesla a été déplacé de ses voitures vers le bot et réorganisé pour fonctionner dans le nouveau corps et l'environnement. Le mouvement Tesla a capturé des personnes effectuant des tâches réelles telles que soulever une boîte, puis utiliser la cinématique inverse, répéter les mouvements à l'aide d'Optimus.
Ensuite, "l'adaptation de mouvement en ligne" est appliquée pour que ces tâches ne soient pas si rigides et puissent être manipulées pour prendre en compte un environnement non structuré.
"Ce sera une transformation fondamentale pour la civilisation telle que nous la connaissons" , a déclaré Musk. Il continue de dire qu'Optimus a le potentiel de "deux ordres de grandeur" d'amélioration potentielle de la production économique.
Musk a annoncé pour la première fois le "Bot Tesla" lors de la Journée de l'IA de l'année dernière, promettant qu'il serait "convivial" et qu'il révolutionnerait potentiellement la chaîne de montage et les activités de fabrication de l'entreprise.
Musk avait averti ses fans de ne pas s'attendre à ce que le prototype ressemble au rendu noir et blanc brillant présenté pour la première fois lors de l'événement de l'année dernière.
Mais le battage médiatique ne manque pas, Musk qualifiant le robot de "développement de produit le plus important que nous réalisons cette année" et prédisant qu'il aura le potentiel d'être "plus important que l'activité automobile au fil du temps" ?
Les applications futures pourraient inclure la cuisine, le jardinage ou même les partenaires sexuels "catgirl" ; Musk a déclaré tout en affirmant que la production pourrait commencer dès l'année prochaine.
www.theverge.com
USA
Le dollar, grand vainqueur de la semaine Le dollar continue d’augmenter et atteint de nouveau sommet depuis 20 ans, soutenu par un resserrement monétaire du côté de la FED.
Le contexte mondiale joue en faveur du dollar
Le contexte européen avec la guerre et la crise énergétique affecte les plus grandes devises de cette région ( euro, GBP, sek ) et la politique monétaire japonaise ( JPY) donne plus de force à la hausse du dollar vu que toutes les devises de ces pays-là s'écroulent. Je reviendrai sur le cas du Japon en vidéo, pour le reste il suffit de regarder les vidéos que j'ai fait sur le sujet ( lien tout en bas )
La FED continue de sauver le dollar de l’inflation
La FED continue son resserrement est comme prévu mercredi les taux ont augmenter de 75 pdb ce qui a pousser le dollar a son plus haut niveau depuis 20 ans.
La FED devrait continuer son resserrement monétaire comme annoncer et tant que les taux ne baisseront pas , il y a peu de chances de voir la tendance s’inverser sur le dollar.
Les niveaux clefs
D’un point de vue technique des corrections sont bien sûr inévitable, comme vu dans mes dernières vidéos ( lien tout en bas ) la prochaine résistance technique est encore loin, à 120.00$ qui correspond au sommet de 2001.
Nous sommes actuellement en pleins excès acheteurs, le RSI est en sur achat, +3.30% en une seule semaine c’est exceptionnel donc la volatilité devrait rester forte et les retracements peuvent être importants. L'Ema 21 hebdomadaire qui depuis janvier 2022 n’as pas été franchis est un bon support de référence s'il y a une correction.
A plus court terme le support 104$ qui ce trouve juste en dessous de l’ema21 correspond a la dernière zone d’accumulation pour les institutionnels, si ce support est franchis alors la force serra passer du côté des vendeurs a court terme.
A plus long terme le dollar accumule +20% de gains depuis le début de l’année, ce qui fait de 2022 l’année la plus bénéfique pour le dollar depuis les 2000.
Les craintes lié a l’Europe, et la détermination de la FED a luté contre l’inflation en augmentant les taux directeur ont rendu le dollar nettement plus attrayant pour les banques, les nations et les initiés en général.
Si les causes ne changent pas les conséquences ne changeront pas
A mon sens il faudrait plus qu’une simple correction de quelques points pour inverser la tendance. Le dollar est haussier et tant que les éléments dit plus haut ne change pas, la tendance n’est pas prête de s’arrêter. Le fait que le dollar augmente et qu'il y a une tendance haussière n'est rien d'autres qu'une conséquence de tout ce qu'on a vu plus haut et dans mes dernières vidéos. Donc tant que les causes sont la, la tendance restera haussière malgré des corrections plus ou moins prononcer, plutôt plus que moins, vu la volatilité de dingue.
Et qu’est-ce qu'on fait quand le marché monte ? "Si c'est haussier, c’est tout ce qu’il y a à savoir" comme dit le célèbre J.Livermore.
ps: déborder en ce moment, je reviens très bientôt avec de nouvelle analyse vidéo, en attendant je pense un peu a vous avec ce petit article ;)
bon week a tous !
l’inflation grimpe plus vite que les tauxDepuis plusieurs mois, on voit l’inflation exploser partout dans le monde, surtout chez nous. Et elle semble échapper à tout contrôle, en Zone Euro, on est déjà à +9,1% (une inflation contrôlée, c’est moins de 2% environ), et de nombreuses projections nous placent déjà à plus de 10% d’ici la fin d’année.
Certains rapports évoquent même 12 ou 13% ?
Pour rappel, monter les taux décourage l’emprunt et encourage l’épargne, ce qui tend à ralentir l’économie (baisse de la consommation) et à réduire l’inflation.
En Europe, les taux de la BCE sont désormais de 0,75% - et il y a encore 3 mois, nous étions toujours sur des taux négatifs, de l’ordre de -0,5% !
- Aux USA, la FED n’a pas connu le même retard à l’allumage et les taux sont déjà compris entre 3% et 3,25%.
- La Banque d’Angleterre est à 2,25%, la Banque Centrale Suédoise à 1,75%...
Tout le monde va dans le même sens et monte ses taux.
Pourquoi l’Europe, qui est plus touchée par l’inflation que les USA, ne grimpe pas davantage ses taux ?
• Monter les taux pose un risque de dérapage de la dette des états plus fragiles comme l’Italie, et si l’Italie fait faillite, la Zone Euro risque de couler, c’est dû (entre autres) au fameux spread des taux, si la BCE monte les taux pour tout le monde de la même façon,
c’est sur les marchés où se financent les États que ces hausses se répercutent de façon asymétrique sur le taux auxquels ils empruntent, l’écart se creuse entre les États dignes de confiance comme l’Allemagne et les États qui font douter comme l’Italie.
• L’inflation Européenne est largement importée, notamment depuis la guerre en Ukraine et les sanctions, or la hausse des taux n’est pas un remède efficace contre une inflation qui prend sa source à l’extérieur de la zone monétaire.
Cela étant, les causes de l’inflation sont diverses, donc monter les taux n’a pas « aucun effet » : notre inflation à 9%, on la doit aussi au « quoi qu’il en coûte », aux plans de relance avec création monétaire massive, et les taux sont encore très bas par rapport aux mesures prises dans le passé.
Christine Lagarde ne s’en cache pas, les taux sont loin d’avoir atteint leur pic. pour l’instant, le mal croît bien plus vite que le remède.
Quand on parle de hausse des taux, on parle d’un taux dit « nominal » ce que décide la BCE, ce qui nous intéresse, c’est le taux d’intérêt réel.
Et le taux réel se calcule ainsi : taux nominal – inflation.
0,75% (taux nominal) - 9,1% (inflation) = - 8,35%.
Le taux réel, qui tient compte de l’inflation, est négatif, et même de plus en plus négatif car l’inflation croît plus vite qu’on ne monte les taux, on ne peut pas mettre les taux d’intérêt à 9,1%, sinon tout va s’écrouler, voyez la crainte que suscite déjà la dette italienne avec un taux à 0,75%.
Avec des taux d’intérêt négatifs, un investisseur qui veut mettre son épargne dans des obligations européennes accepte donc de perdre de l’argent.
Les dettes en Europe font craindre des défauts de paiement, en plus d’afficher ce taux réel scandaleusement négatif, l’inflation européenne est haute notamment car elle est importée, ce sont les prix de l’énergie qui la font exploser.
La hausse des taux, doit être proportionnelle à la part de l’inflation sur laquelle elle peut avoir une prise réelle, d’autant qu’on ne souhaite pas non plus trop ralentir l’activité économique, vu que nous sommes déjà en récession.
Entre 2000 et 2012, on a eu des taux d’inflation jusqu’à 4-5%, soit moitié moins qu’aujourd’hui, et les taux d’intérêt, eux, sont montés jusqu’à 4%.
Certains économistes bien informés pense que les taux d’intérêt en Zone Euro sont destinés à monter de 250 à 400 points de base, c’est-à-dire passer de 0,75% à 3,25% - 4,5%.
On voit bien, déjà la violence avec laquelle la hausse des taux est accueillie par les marchés et ralentit l’activité, ce qui nous donne une idée de la suite.
Marc Schneider
FOMC Taux des Fed FundsLe Comité fédéral de l'open market (FOMC) était en réunion le 20 et 21 septembre, il est difficile de ne pas se soucier de la décision concernant le taux des Fed Funds (fonds fédéraux) qui a été annoncé hier à 14 heures.
S'il s'agit d'une décision de 75 points de base. Une hausse de 100 points de base aurait probablement donné un résultat bien pire.
Plus importante que la hausse elle-même est l'orientation donnée pour le reste de l'année. Nous ne sommes plus qu'à sept semaines des élections de mi-mandat, et les orientations données déterminent le ton des marchés jusqu'à la fin de l'année.
Je ne me souviens pas d'une époque où les capitaux institutionnels étaient plus impatients de revenir sur le marché.
Mais comme la Fed semble vouloir à tout prix rectifier ses grossières erreurs de calcul et d'appréciation de l'inflation l'année dernière, il est difficile pour les fonds de revenir sur le marché s'il y a une réelle menace de nombreuses autres hausses à venir.
Combien payons-nous, en tant que contribuables, pour que la Réserve fédérale fasse son travail ?
C'est un chiffre incroyable. Le budget 2022 prévoit 6,246 milliards de dollars de dépenses de fonctionnement. Il s'agit d'une augmentation significative par rapport à 2021, qui s'élevait à 5,9 milliards de dollars.
Les chiffres de l'emploi sont tout aussi surprenants, le budget du système de la Réserve fédérale prévoit d'employer 24 447 personnes cette année.
Incroyable. Qu'est-ce qu'ils font tous exactement ?
Mieux encore, près de 400 employés travaillent à la Fed, et ils ont un objectif très clair.
Dans les propres mots de la Fed :
Conduire la politique monétaire de la nation en influençant les conditions de la monnaie et du crédit dans l'économie afin de parvenir au plein emploi et à la stabilité des prix.
Maintenir la stabilité du système financier et contenir le risque systémique qui peut survenir sur les marchés financiers.
Sachant cela, et sachant que près de six milliards ont été dépensés l'année dernière et que 6,25 milliards de plus le seront cette année, nous devons nous demander où va tout cet argent.
Après tout, le marché américain connaît des taux de participation à la population active faibles et en baisse, et nous n'avons certainement pas des prix stables.
On nous a dit que l'inflation était "transitoire" alors que la Fed ne faisait rien à ce sujet l'année dernière, et pourtant, nous sommes là, à mettre en œuvre une politique monétaire qui déstabilise les marchés.
La volatilité des prix est hors de contrôle, c'est exactement le contraire des objectifs déclarés de la Fed.
Comment près de 400 employés, le Conseil des gouverneurs et 11 présidents de banques de réserve ont-ils pu se tromper à ce point ?
Cette erreur colossale s'est faite non seulement au détriment des contribuables américains, mais aussi du monde entier, étant donné le statut de monnaie de réserve du dollar américain.
Peut-être est-il vraiment temps de mettre fin à la Fed...
Un dollar fortUn dollar fort
Ce sera probablement une surprise pour certains qu’avec une inflation qui dépasse 9 % aux Etats-Unis, le US dollar soit considéré comme «fort». Mais comme on peut le voir dans le schéma ci-après, le dollar a atteint son plus haut niveau depuis vingt ans
L’actif financier le plus important du monde !
Depuis l’accord Bretton Woods en 1944, le dollar a été l’actif financier le plus important du monde. L’accord Bretton Woods a été conclu vers la fin de la seconde guerre mondiale,
quand les délégués de 44 pays alliés se sont rencontrés à Bretton Woods, New Hampshire. La délégation a décidé que les monnaies du monde ne seraient plus liées directement à
l’or. Cela impliquait trop de restrictions pour la politique monétaire. Au lieu de cela, ils ont décidé de rattacher les monnaies au dollar américain, bien qu’à cette époque le USD était
également lié à l’or.
Actuellement, 85 % de toutes les transactions de devises étrangères se font avec des USD, plus significatif encore, environ la moitié des dettes transnationales et internationales sont
en USD. Puisque le dollar est utilisé pour ces transactions, une force relative du USD impacte grandement les autres pays.
Exemple :
Admettons que le taux de conversion est de 1,5 entre le dollar et l’euro, autrement dit, 1,5 $ vaut 1 €, tout était normal en 2006, avec ce cours, une dette d’un milliard de dollars serait l’équivalent d’environ 666 millions d’euros.
Mais avec le dollar et l’euro à parité, la même dette en dollars n’est plus l’équivalent de 666 millions, mais d’un milliard d’euros. En renforçant le dollar américain,
la dette a concrètement été augmentée de centaines de millions d’euros.
Pourquoi un dollar fort pose des problèmes ?
En réalité, la plupart des politiciens, journalistes et même experts financiers ne comprennent pas totalement comment le système des devises fonctionne.
Un dollar fort provoque de l’inflation dans le reste du monde, le dollar est impliqué dans près de 90 % de toutes les transactions de devises étrangères.
Environ 40 % de toutes les transactions commerciales internationales sont facturées en dollars, un chiffre considérable sachant que les Etats-Unis ne sont concernés que dans 10 %
des transactions commerciales mondialement.
La domination du dollar signifie qu’il a un rôle démesuré dans le commerce mondial. Un article récent du National Bureau of Economic Research (NBER) a établi qu’une augmentation de
10 % du dollar conduit à un recul de 6 à 8 % du commerce mondial dans les pays du reste du monde.
Cela parait surprenant mais tombe sous le sens si l’on sait que le cours de presque toutes les matières premières, du pétrole au maïs en passant par le cuivre, est en dollars.
Autre exemple :
Avec un baril de pétrole a un prix fixe de 100 $. Il y a un an, l’euro valait 1,20 $. A cette époque, l’Allemagne payait environ 83 € par baril de pétrole. Mais maintenant le dollar s’est renforcé
et l’euro se négocie à parité. Un dollar vaut maintenant donc un euro. L’Allemagne devra par conséquent payer 100 € pour un baril de pétrole. C’est ainsi qu’un dollar fort provoque de
l’inflation dans le reste du monde. A mesure que les prix des marchandises augmentent cette année, les autres pays voient les prix augmenter plus rapidement qu’aux Etats-Unis.
Cela veut dire que les entreprises européennes auront des marges bénéficiaires plus petites et que les citoyens auront moins de revenu discrétionnaire, car ils paient plus pour les
marchandises et l’énergie.
Cette dynamique est en train d’accélérer la crise énergétique en Europe en ce moment.
L’Allemagne est dans une situation particulièrement critique. Les prix de l’énergie ont été multipliés par 5 depuis un an. Il y a une réelle possibilité que beaucoup d’usines
allemandes devront fermer leurs portes à cause des coûts énergétiques galopants. C'est déjà le cas pour certaines petites entreprises.
l’histoire nous enseigne qu’un dollar fort n’est pas simplement un inconvénient. Il a été à l’origine de plusieurs crises financières au cours
des dernières décennies. Il n’y a qu’un moyen d’éviter ce genre de crise : affaiblir le dollar Américain.
Une nouvelle crise financière se prépare.
Il y a déjà un premier pays en défaut de paiement pour sa dette. Au mois de mai, le Sri Lanka a déclaré que le pays ne serait pas en mesure d’honorer sa dette de 50 milliards en dollars.
La Russie est également en défaut de paiement sur sa dette en dollars. Le défaut de paiement de la Russie s’explique par différentes raisons. Après l’invasion de
l’Ukraine, ce pays a été déconnecté du réseau de paiement SWIFT et expulsé du système financier international. La Russie aurait facilement pu payer ses dettes, car les revenus du
pétrole et du gaz ont augmenté depuis l’invasion, mais le pays n’était pas en mesure de traiter les transactions.
Si le dollar continue de monter, il y aura d’autres pays en défaut de paiement. Il y a 52 autres pays qui sont considérés comme financièrement vulnérables.
Il faut agir avant que la situation ne dérape et cette fois-ci, les plus grands pays du monde doivent agir plus rapidement. Les niveaux de dette actuels surpassent les niveaux élevés des
années 1980 et 1990.
En 1980, la dette mondiale était de 425 milliards de dollars. A l’heure de la crise financière asiatique en 1997, ce montant avait grimpé à 3 000 milliards. Mais depuis 2021, on estime la
dette mondiale à 30’300 milliards de dollars. La dette mondiale par rapport au PIB est passée de 38% en 1980 à 250% en 2021.
Les répercussions de cette accumulation de dettes pourraient disloquer le système financier mondial. Ce serait un effondrement plus important que ce qu’on a vu durant la crise financière
de 2007-2009. Les dominos ont déjà commencé à tomber et les autorités financières doivent agir immédiatement afin de faire descendre la valeur du dollar.
Cependant, avant de paniquer et de liquider nos portefeuilles en toute hâte, je précise que je ne pense pas qu’une telle crise aura lieu. La raison en est simple, la Réserve Fédérale et les
autres principales banques centrales interviendront. On perçois déjà les premières mesures.
L’implémentation d’un scénario pour un dollar plus faible n’est qu’une question de temps.
Jeff Brown
La démocratisation des véhicules autonomes est déjà en route !!!Pitney Bowes vient de faire une annonce intéressante qui est un signe des choses à venir, c'est le début d'une tendance qui va remodeler la logistique et la distribution dans le monde entier.
Pitney Bowes n'est peut-être pas un nom que la plupart des gens reconnaissent, mais il s'agit d'une grande entreprise de logistique qui se concentre sur les colis et la livraison.
Pitney travaille avec toutes sortes de détaillants, il s'agit aussi bien de magasins physiques que de magasins en ligne.
L'entreprise vient d'annoncer qu'elle s'associe à la société de conduite autonome Gatik pour la livraison du kilomètre intermédiaire, ce terme désigne les livraisons entre des installations telles que les centres de stockage, d'exécution et de distribution.
Cette société s'étant associée à Walmart en décembre dernier, Gatik a déployé des camions à conduite autonome pour transporter des marchandises des centres de distribution de Walmart vers ses magasins.
Pitney s'est associé à Gatik pour faire quelque chose de similaire, Gatik va déployer des camions à courte distance pour transporter des marchandises entre les centres de distribution.
Cela est très différent de ce que des entreprises comme Amazon et UPS essaient de faire avec leurs réseaux logistiques, elles cherchent à déployer des livraisons autonomes directement aux consommateurs.
C'est ce qu'on appelle la livraison du dernier kilomètre, et c'est un problème beaucoup plus complexe et plus important à résoudre.
La livraison autonome entre centres de distribution est beaucoup plus facile, c'est parce que les entreprises peuvent préprogrammer les itinéraires.
Gatik peut s'assurer que ses camions à conduite autonome évitent les zones difficiles à naviguer, elle peut donc éliminer tous les itinéraires qui poseraient problème à un camion autopiloté , par exemple, les itinéraires qui nécessitent des virages à gauche difficiles.
Pitney et Gatik se concentrent donc ici sur un problème très spécifique, il s'agit d'une solution qu'ils peuvent mettre en œuvre beaucoup plus rapidement que les solutions de conduite entièrement autonome.
À cette fin, ils vont tester cette technologie de conduite autonome avec un conducteur de sécurité dans chaque camion au cours des prochains mois.
Une fois qu'ils auront confirmé que les camions peuvent effectuer chaque trajet, ils retireront le conducteur de sécurité.
Chaque camion effectuera alors les trajets prédéfinis de manière autonome, cela devrait se faire au début de l'année prochaine.
Gatik estime que ses services permettront à Pitney d'économiser jusqu'à 30 % de ses coûts, rien qu'en automatisant les livraisons sur le kilomètre intermédiaire.
En voyant cette estimation, imaginez ce qu'il adviendra des coûts lorsque nous pourrons également automatiser complètement les livraisons du dernier kilomètre, la réduction des coûts sera bien supérieure.
Le résultat final est que les biens de consommation vont devenir beaucoup moins chers à distribuer, et ces économies de coûts seront finalement répercutées sur les consommateurs également.
En d'autres termes, tout ce que nous achetons en ligne deviendra probablement encore moins cher à faire livrer directement à notre porte, une fois que la technologie de conduite autonome sera répandue.
Les économies seront partagées par le consommateur et les fournisseurs de services commerciaux, qui bénéficieront de marges brutes plus élevées.
La démocratisation des véhicules autonomes est déjà en route.
USA mi journéeMercredi 7 septembre 2022
Les principaux indices s'échangent tous légèrement à la hausse à midi après un début de séance agité mais actif à Wall Street.
Les marchés financiers mondiaux sont restés volatils, tous les regards étant toujours tournés vers l'Europe, mais les actions américaines ont enregistré un rebond prometteur au cours des premières heures de négociation malgré le fait qu'elles aient atteint de nouveaux creux de six semaines hier,
les indices de référence des grandes capitalisations sont sur le point de clôturer en hausse pour seulement la deuxième fois en huit séances.
Les rumeurs renouvelées d'une nouvelle hausse des taux de 0,75% par la Fed ont propulsé le dollar à de nouveaux sommets de plusieurs décennies face à la livre britannique et au yen japonais avant le discours demain du président de la Fed, Jerome Powell, sa dernière apparition prévue avant la décision sur les taux de la semaine prochaine.
Dans l'actualité économique, le déficit commercial américain a été un peu plus important que prévu, atteignant toujours son plus bas niveau en près d'un an grâce, en partie, à la flambée du dollar.
Le prix du pétrole a chuté à un plus bas de plus de huit mois aux États-Unis, malgré l'aggravation de la crise énergétique européenne, le cuivre ayant également légèrement baissé et la vente massive de matières premières a pesé sur les actions énergétiques et les matériaux en début de séance.
Les rendements du Trésor ont reculé, soutenant le rebond des actions tiré par la technologie, la baisse des prix de l'énergie apaisant les craintes inflationnistes.
L'étendue du marché a été relativement forte ce matin, les émissions en progression dépassant en nombre les émissions en déclin dans un rapport de 3 pour 2 sur le NYSE. 203 actions ont atteint de nouveaux plus bas sur 52 semaines sur le NYSE et le Nasdaq, tandis que 4 actions ont atteint de nouveaux sommets sur 52 semaines.
Les principaux indices se sont négociés au-dessus de leurs VWAP quotidiens (prix moyen pondéré en fonction du volume) pendant la majeure partie de la séance, indiquant une pression d'achat intrajournalière.
Hormis le secteur de l'énergie, les actions sont dans le vert dans tous les domaines, avec les actions de consommation, les services publics, le secteur de la santé et les services de communication en tête pour l'instant.
La Russie a fermé Nord Stream 1La Russie a fermé Nord Stream 1, le principal pipeline de gaz naturel vers l'Europe.
La condition pour le remettre en service, et potentiellement aussi pour Nord Stream 2, est simple, l'Occident doit lever les sanctions contre la Russie.
La Russie affirme qu'elle a dû fermer le gazoduc car les sanctions ont rendu impossible la réparation des turbines critiques, vrai ou faux, cela n'a pas vraiment d'importance, la Russie est dans une position de négociation incroyable.
Le rouble n'a jamais été aussi fort depuis sept ans et la Russie a trouvé un débouché pour son gaz naturel en Inde, en Chine et dans d'autres pays asiatiques, en bref, sa monnaie et son industrie énergétique sont florissantes, mais il se passe de drôles de choses ?
Les sanctions européennes ne sont pas du tout ce qu'elles semblent être, les importations européennes de gaz naturel liquéfié (GNL) ont connu une croissance incroyable de 60 % au cours du premier semestre de cette année, c'est un bond énorme, qui a évidemment contribué à compenser la perte de gaz naturel du gazoduc Nord Stream 1.
Mais d'où vient ce GNL ?
La Chine a été heureuse de revendre son GNL à l'Europe lorsqu'elle en avait besoin, mais d'où vient le GNL de la Chine ?
la Russie !
La Russie vend son gaz naturel à la Chine, puis la Chine se retourne et revend le gaz naturel à l'Europe, les politiciens européens peuvent se vanter d'avoir sanctionné le gaz naturel Russe.
L'Europe achète tellement de GNL russe par l'intermédiaire de la Chine qu'au rythme actuel, elle prévoit de remplir 80 % de ses installations de stockage de gaz naturel d'ici novembre.
Le pire, c'est que ce tour de passe-passe se fait au détriment des Européens et qu'il enrichit considérablement la Russie et la Chine, exactement le contraire de ce que les sanctions étaient censées faire.
Il est également intéressant de noter que ces informations ne sont pas disponibles dans les médias grand public.
Le "flux" d'informations est manipulé à tel point que la "conspiration" mondiale ne veut tout simplement pas que nous sachions ce qui se passe réellement.
Des manifestations pacifiques ont eu lieu en Europe ce week-end à propos des prix de l'énergie, Paris, Londres, Prague et Cologne, en Allemagne, tous ont organisé des manifestations massives réunissant des dizaines de milliers de personnes, ce n'est pas surprenant,
après tout, qui peut se permettre de payer ses factures d'électricité si les prix sont multipliés par 5, voire 10, en l'espace de quelques mois ?
Ce genre de manifestations est le genre de choses que l'on s'attendrait à voir en première page de tous les journaux, à la une du journal télévisé du soir, ou sur les pages d'accueil des sites web etc..., mais rien !
CETTE DEFORMATION, DE FILTRAGE ET DE MANIPULATION DES MEDIAS EST VRAIMENT EFFRAYANTE
L'Europe aura probablement assez d'énergie pour survivre cet hiver et faire tourner ses usines ainsi que ses économies, mais les importations de GNL de Chine (qui proviennent de Russie) ne suffiront pas à alimenter des pays entiers, ni à provoquer une chute vertigineuse du coût de l'électricité pour que les citoyens puissent se chauffé cet hiver.
Ce qui nous ramène au jeu du plus fort. On pourrait dire que la Russie a fait une approche un peu "gentille" en raison du moment où elle a fermé le Nord Stream 1, en effet, cette décision intervient juste au moment où le mois de septembre apportera des températures plus fraîches en Europe, et bien avant les températures très froides de l'hiver.
S'il y a un moment de l'année où il faut se passer de climatisation ou de chauffage en Europe, c'est bien maintenant.
La seule chose qui se passe, c'est le transfert des économies des contribuables Européens vers la Chine, et finalement vers la Russie, c'est absurde.
Espérons que les deux parties s'assiéront à la table et trouveront un moyen de remettre le gazoduc en marche, de préférence les deux. Il est assez évident de savoir quel côté va flancher en premier ?
Il semble que la Russie ait la plupart des cartes en main, que les sanctions n'aient pas fonctionné et que la mascarade soit devenue trop évidente.
Elon Musk, Twitter et les Réseaux Sociaux...Les derniers développements intéressants au cours des derniers jours.
Pour commencer, l'ancien responsable de la sécurité de Twitter vient de déposer une plainte pour dénonciation.
Il affirme que Twitter a donné la priorité à la croissance du nombre d'utilisateurs au détriment de la lutte contre le spam et les bots.
Cette plainte a été déposée alors que M. Musk a cité à comparaître le cofondateur et ancien PDG de Twitter, Jack Dorsey, pour obtenir davantage d'informations.
La saga est donc toujours en cours.
Si l'équipe juridique de Musk peut prouver que Twitter a sous-estimé la gravité de son problème de bots, cela permettrait à Musk de renégocier le prix de l'acquisition à une valorisation qui représente le nombre d'utilisateurs actifs réels, et non de bots, sur la plateforme.
C'est non seulement une position raisonnable à adopter, mais une position appropriée, après tout, qui accepterait de payer pour de " faux " abonnés ?
Dans le même temps, Musk vient de réaliser une opération financière stratégique.
Les documents réglementaires montrent qu'il a vendu près de huit millions d'actions de Tesla TSLA, cela a permis de lever près de 7 milliards de dollars en espèces.
Si l'on se souvient, Musk avait des bailleurs de fonds stratégiques pour l'aider à financer la proposition initiale de Twitter. Il n'a pas eu besoin de lever des fonds supplémentaires pour conclure l'affaire.
Il semble donc que Musk se donne un peu plus de marge de manœuvre au cas où l'un de ses partenaires voudrait se retirer de l'opération, une fois que les questions concernant les vrais et les faux utilisateurs auront été résolues.
C'est raisonnable compte tenu de ce que nous savons maintenant sur l'ampleur des bots et des spams sur Twitter.
Mais il pourrait y avoir un autre motif à l'œuvre ?
Musk a fait des commentaires suggérant que si l'accord avec Twitter échoue, il pourrait envisager de construire son propre réseau de médias sociaux, il a même déjà un site pour cela !
Si l'accord avec Twitter ne fonctionne pas, Musk dispose maintenant du capital dont il aurait besoin pour créer sa propre plateforme de médias sociaux en partant de zéro, ce serait certainement un projet intéressant.
Nous n'aurons certainement plus à attendre longtemps pour en connaître la conclusion. l'affaire passe en jugement en octobre, ce qui laisse supposer que nous saurons immédiatement après si l'opération se poursuit ou non.
Les développements potentiels vers le secteur de la blockchain sont aussi une piste attrayante pour Elon Musk ?
Ce domaine comporte d'innombrable opportunités d'investissement extraordinaires pour celui qui sait comment se positionner.
Commentaire du marché US mi-journée17/08/2022
Les principaux indices se négocient tous à la baisse cette après midi après une séance agitée mais active à Wall Street, les traders attendant avec impatience les minutes de la réunion du FOMC.
Les actions technologiques et le Nasdaq ont ouvert la voie à la baisse en début de séance, les rendements du Trésor ayant bondi pour la deuxième journée consécutive avant la publication cruciale de la Fed.
Les faibles chiffres de Target (TGT, -3,1%) au deuxième trimestre ont ajouté la pression de vente sur les actions, le Dow Jones et le Russell 2000 sont tous deux revenus en dessous de leurs moyennes mobiles sur 200 jours en raison du changement de risque.
Dans l'actualité économique, les ventes au détail globales sont restées stables en juillet, légèrement inférieures à l'estimation consensuelle, mais les ventes de base ont facilement dépassé les attentes, augmentant de 0,4 %.
Une lecture à deux chiffres de l'inflation britannique a effrayé les investisseurs, le PIB de la zone euro inférieur aux attentes pesant également sur les actifs à risque mondiaux.
Les matières premières sont restées sous pression pour la troisième journée consécutive, le pétrole brut a gagné du terrain après avoir atteint son plus bas niveau depuis fin janvier hier, alors que les données sur les stocks américains ont montré une énorme baisse.
L'étendue du marché a été relativement faible en début de journée, les baisses étant plus nombreuses que les émissions en progression d'un ratio de 6 pour 1 sur le NYSE .
42 actions ont atteint de nouveaux plus bas en 52 semaines sur le NYSE et le Nasdaq, tandis que 29 actions ont atteint de nouveaux sommets en 52 semaines.
Les principaux indices se sont négociés en dessous de leurs VWAP quotidiens (prix moyen pondéré en fonction du volume) pendant la majeure partie de la séance, indiquant une pression de vente intrajournalière.
Hormis le secteur de l'énergie, les actions sont dans le rouge dans tous les domaines, les matériaux, les services de communication, les biens de consommation discrétionnaire, les valeurs technologiques perdant le plus de terrain en début de séance.
Le tableau technique à court terme reste haussierLes actions ont commencé la semaine de manière volatile dans un contexte de tensions américano-chinoises croissantes, les principaux indices ayant restitué certains des gains élevés de la semaine dernière.
Cependant, la seconde moitié de la semaine a été beaucoup plus prometteuse pour les bulls.
La volatilité a fortement chuté, conformément aux tendances saisonnières, avec une série de surprises haussières sur les bénéfices et une baisse de l'inflation alimentant un rallye tiré par la technologie à Wall Street.
Le tableau technique à court terme reste haussier, bien que les lectures de l'élan de surachat pourraient signaler un recul imminent, les acheteurs contrôlent toujours totalement le marché.
Le S&P 500, le Dow Jones et le Nasdaq sont toujours au-dessus de leurs moyennes mobiles sur 50 jours, mais les indices de référence sont toujours bloqués en dessous de leurs moyennes mobiles sur 200 jours.
Les petites capitalisations sont restées relativement fortes, ainsi que les actions technologiques pendant la majeure partie de la semaine, et le Russell 2000 a clôturé bien au-dessus de sa moyenne mobile à 50 jours tout en se rapprochant également de sa moyenne mobile à long terme.
L'indice de volatilité (VIX) a connu une semaine très active, puisqu'il a d'abord augmenté, juste pour terminer la semaine légèrement plus bas à une distance frappante du niveau crucial de 20.
SP500-38.2% FIBONACCI RET @ 3'802GRAPHIQUE HEBDOMADAIRE
Le premier retracement Fibonacci (38.2% @ 3'802) du mouvement 2'174 (mars 2020) à 4'808.25 )novembre 2021) a pratiquement été atteint avec un point bas atteint hier @ 3'807.50 pour finalement clôturer, en base hebdomadaire @ 3'899.50
Je tiens à préciser que, après une hausse de plus de 120%, le nouveau trend baissier dans lequel nous nous trouvons, a "seulement" retracé d'une manière marginale et qu'il y a encore beaucoup de place à la baisse comme vous pouvez aisément le constater sur le graphique hebdomadaire.
En effet, actuellement, et pour la seconde semaine consécutive, le SP 500 a clôturé en dessous de la base du nuage hebdomadaire en confirmant sa tendance baissière (hauts plus bas que les précédents et bas plus bas que les précédents); de plus, le SP 500 est également en-dessous de la MM21, la Kijun-Sen et la Tenkan-Sen, ce qui n'est pas, vous en conviendrez, de très bonne augure pour le futur en ayant une vision globale de la situation.
Le prochain retracement Fibonacci (50%) est @ 3'491.25 et le 61.8% @ 3'180.25.
Il ne manque qu'une confirmation de la LAGGING LINE qui est encore dans le nuage et une cassure de ce dernier serait perçue comme un signal baissier additionnel dans cet horizon temps hebdomadaire.
En regardant rapidement, le graphique mensuel , nous pouvons constater que le Bitcoin est actuellement en-dessous de la Tenkan-Sen ou ligne de conversion (4'307), en desous de la MM21 (@ 4'128) et encore en dessus de la Kijun-Sen ou ligne de base @ 3'616.50; ce dernier niveau devant lui aussi être considéré comme un niveau support très important.
A noter également, en base mensuelle que la zone de support du nuage, projeté dans le futur coîncide également avec les retracements Fibonacci mentionnés ci-dessus.
GRAPHIQUE JOURNALIER
La journée de hier et son price action a formé un "DOJI" figure d'incertitude et d'indécision (identique à celle du 12 mai dernier) qui avait déclenché un mini rallye purement correctif dans une tendance de fond baissière.
Dès lors, couplé avec une divergence haussière sur le RSi, il est plus que probable que nous assistions à nouveau à une nouvelle tentative de rebond en direction de la ligne de résistance du canal baissier en cours dans lequel le SP 500 se trouve actuellement.
Le point de résistance de ce canal, coincide approximativement à la précédente zone de support autour de 4'100 qui doit être maintenant considérée comme le premier niveau significatif à casser à la hausse, ce qui dans l'immédiat, stabiliserait quelque peu cette pression baissière persistante.
Ne criez pas victoire trop vite, car ce ne serait que le premier pas qui serait franchit, trûché de nombreux obstacles encore à franchir, à commencer par la MM21 @ 4'219, suivi de la Kijun-Sen ou ligne de base @ 4'158 et in fine, et pas des moindres la zone du nuage journalier, actuellement entre 4'366-4'431 donc en résumé, comme on dit chez nous,,,"on n'est pas encore sorti de l'auberge"
"The trend is your friend "ne l'oubliez jamais et force est de constater que nous sommes dans un trend baissier. déjà depuis bien quelques temps (voir à ce sujet le lien vers les idées associées ci-dessous)
Bien entendu, il y a et il y aura toujours des opportunités de trading tactique court terme, mais je vous rappelle, que ce genre de positions, initiées, en contre-tendance, doivent être monitorées avec une discipline bien établie en respectant strictement un Risk Reward Ratio , qui doit être cohérent, d'une part avec l'horizon temps dans lequel vous opérez et d'autre part en fonction de l'objectif TP que vous vous serez fixé.
Règle d'or : Ne jamais changer le stop loss fixé à l'initiation de votre position !
Is this uptrend a correction of the previous downtrend ? Mr Jerome Powell will speak tonight and give us more informations about the economic situation of USA.
On this point, I think we'll see a lot of volatility mainly on forex !
Technically, I used Fibonacci retracement on EUR/USD, on the previous downtrend.
As you can see, the different key points are pretty accurate and the price evolution can be stopped on these (or push through...)
What I think :
Retracement rules tells us that 0.382 is a strong point and maybe the most important, in a corrective pattern, for the evolution of the price.
So if EUR/USD pulls back on 0.382, we can go back , first to 0.5 but we could go back to 0.886 which is the first main objectif in Fibonacci Retracements (and more if the trend is strong).
Tonight's FED speech will be really important mainly for the strenght of US Dollar. Federal funds rates, purchase operations and other economics plans will be the main subjects.
So let's see the evolution...
US30(Dow jones) 1DGraphique daily du Dow Jones
Biseau ascendant comme sur le sp500
Attendre une cassure par le bas pour chercher à vendre et viser le prochain support comme mi sur le graphique.
Comme vous le savez bien, il faut faire preuve de prudence sur chaque entrée.
Les phases baissières sur les indices peuvent etre violente et de la meme manière elles peuvent ne pas durer longtemps..
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