Taux d'inflation aux Etats-Unis YoYGraphique mensuel du CPI Nous ne cassons pas la barrière, des 3 % pour l'instant. Objectif de la FED 2 % Faites votre opinion, avant de passer un ordre. ► Merci de booster, commenter, s'abonner ! par DL_INVEST2
CPI US - Inflation USAGraphique du taux d'inflation aux USA. Donnée du mois de novembre. Objectif théorique de la FED : 2 % par DL_INVEST1
Le High Grade attend son heure Il va être intéressant de surveiller le cuivre lorsque l’inflation US se rapprochera des 3%, actuellement il est entraîné par l’effet mécanique de la baisse de cette dernière. La transition écologique ainsi que la reprise, bien que timide de la chine devraient soutenir le Cooper, sur fond de santé économique mondiale et de tensions géopolitique bien sur. par sebno44Mis à jour 1
l’inflation grimpe plus vite que les tauxDepuis plusieurs mois, on voit l’inflation exploser partout dans le monde, surtout chez nous. Et elle semble échapper à tout contrôle, en Zone Euro, on est déjà à +9,1% (une inflation contrôlée, c’est moins de 2% environ), et de nombreuses projections nous placent déjà à plus de 10% d’ici la fin d’année. Certains rapports évoquent même 12 ou 13% ? Pour rappel, monter les taux décourage l’emprunt et encourage l’épargne, ce qui tend à ralentir l’économie (baisse de la consommation) et à réduire l’inflation. En Europe, les taux de la BCE sont désormais de 0,75% - et il y a encore 3 mois, nous étions toujours sur des taux négatifs, de l’ordre de -0,5% ! - Aux USA, la FED n’a pas connu le même retard à l’allumage et les taux sont déjà compris entre 3% et 3,25%. - La Banque d’Angleterre est à 2,25%, la Banque Centrale Suédoise à 1,75%... Tout le monde va dans le même sens et monte ses taux. Pourquoi l’Europe, qui est plus touchée par l’inflation que les USA, ne grimpe pas davantage ses taux ? • Monter les taux pose un risque de dérapage de la dette des états plus fragiles comme l’Italie, et si l’Italie fait faillite, la Zone Euro risque de couler, c’est dû (entre autres) au fameux spread des taux, si la BCE monte les taux pour tout le monde de la même façon, c’est sur les marchés où se financent les États que ces hausses se répercutent de façon asymétrique sur le taux auxquels ils empruntent, l’écart se creuse entre les États dignes de confiance comme l’Allemagne et les États qui font douter comme l’Italie. • L’inflation Européenne est largement importée, notamment depuis la guerre en Ukraine et les sanctions, or la hausse des taux n’est pas un remède efficace contre une inflation qui prend sa source à l’extérieur de la zone monétaire. Cela étant, les causes de l’inflation sont diverses, donc monter les taux n’a pas « aucun effet » : notre inflation à 9%, on la doit aussi au « quoi qu’il en coûte », aux plans de relance avec création monétaire massive, et les taux sont encore très bas par rapport aux mesures prises dans le passé. Christine Lagarde ne s’en cache pas, les taux sont loin d’avoir atteint leur pic. pour l’instant, le mal croît bien plus vite que le remède. Quand on parle de hausse des taux, on parle d’un taux dit « nominal » ce que décide la BCE, ce qui nous intéresse, c’est le taux d’intérêt réel. Et le taux réel se calcule ainsi : taux nominal – inflation. 0,75% (taux nominal) - 9,1% (inflation) = - 8,35%. Le taux réel, qui tient compte de l’inflation, est négatif, et même de plus en plus négatif car l’inflation croît plus vite qu’on ne monte les taux, on ne peut pas mettre les taux d’intérêt à 9,1%, sinon tout va s’écrouler, voyez la crainte que suscite déjà la dette italienne avec un taux à 0,75%. Avec des taux d’intérêt négatifs, un investisseur qui veut mettre son épargne dans des obligations européennes accepte donc de perdre de l’argent. Les dettes en Europe font craindre des défauts de paiement, en plus d’afficher ce taux réel scandaleusement négatif, l’inflation européenne est haute notamment car elle est importée, ce sont les prix de l’énergie qui la font exploser. La hausse des taux, doit être proportionnelle à la part de l’inflation sur laquelle elle peut avoir une prise réelle, d’autant qu’on ne souhaite pas non plus trop ralentir l’activité économique, vu que nous sommes déjà en récession. Entre 2000 et 2012, on a eu des taux d’inflation jusqu’à 4-5%, soit moitié moins qu’aujourd’hui, et les taux d’intérêt, eux, sont montés jusqu’à 4%. Certains économistes bien informés pense que les taux d’intérêt en Zone Euro sont destinés à monter de 250 à 400 points de base, c’est-à-dire passer de 0,75% à 3,25% - 4,5%. On voit bien, déjà la violence avec laquelle la hausse des taux est accueillie par les marchés et ralentit l’activité, ce qui nous donne une idée de la suite. Marc Schneider par Study_capital5
ANALYSE FUNDAMENTAL La Réserve fédérale américaine (Fed) a relevé mercredi son principal taux d'intérêt de trois quart de points dans le but de juguler le niveau de l'inflation, au plus haut depuis les années 1980, et pourrait procéder lors de sa prochaine réunion à une hausse "inhabituellement importante" si les circonstances l'exigent.par belkhairi62
idée Inflation américaine triangle de compressionInflation américaine triangle de compression repercussions societales et economique des niveaux (guerre et autre) si casse a la hausse, direction la guerre.Longpar DKTTUN1
BTC: LA PLACE DES CRYPTOS DANS UN MONDE EN RECESSIONOn réfléchit sur la corrélation ente les taux d'inflation, le marché et les cryptos. 19:59par Cryptolyze_tek3