Triangle Symétrique, Tendance Haussière en 4h Sur le graphique en 4h du Natural Gas (NG), nous observons une tendance haussière marquée depuis quelques mois, soutenue par une série de creux et sommets de plus en plus élevés. Actuellement, le prix évolue dans un triangle symétrique, un modèle technique qui indique une contraction des prix, ce qui pourrait annoncer une forte volatilité à venir.
La question qui se pose maintenant : est-ce que le NG va casser à la hausse, poursuivant sa tendance haussière, ou allons-nous assister à un retour dans le triangle pour une correction avant de repartir à la hausse ?
Les traders doivent surveiller les niveaux de résistance et de support dans ce triangle. Une cassure à la hausse confirmerait la continuation de la tendance haussière, tandis qu’une cassure à la baisse pourrait signaler un retracement avant une reprise du mouvement. Le marché du NG reste sensible aux facteurs externes comme la météo, la demande saisonnière, et les rapports de stocks, donc ces éléments pourraient influencer la direction à court terme.
Points clés à surveiller :
Cassure à la hausse : Un signal haussier pour les traders agressifs.
Correction potentielle : Si le prix revient dans le triangle, une baisse temporaire pourrait se produire avant un rebond.
Restez attentifs aux niveaux clés du triangle et préparez vous à une possible forte volatilité.
Attention : Ceci n'est pas un conseil d'investissement, mais une analyse technique à titre informatif uniquement.
GWM1! Idées de trades
L’audacieuse décision gazière de l’Europe va-t-elle tout changerL’arrêt du transit de gaz russe par l’Ukraine à partir du 1er janvier 2025, une décision qui résonne fortement à travers les marchés énergétiques mondiaux, marque un tournant décisif dans la géopolitique de l’énergie. Ce moment charnière remet en question des schémas d'approvisionnement établis depuis des décennies et profondément ancrés, tout en testant la résilience et la vision stratégique de l’Europe pour sécuriser son avenir énergétique. La réaction immédiate des marchés, avec une flambée des prix du gaz atteignant des niveaux inédits depuis la fin 2023, souligne l’importance de ce changement majeur.
Dans ce contexte incertain, le champ gazier de Troll en Norvège se distingue comme un symbole d’espoir, établissant des records de production sans précédent et illustrant la capacité de l’Europe à s’adapter stratégiquement. Avec une production atteignant 42,5 milliards de mètres cubes standard en 2024, cette réussite montre comment l’innovation technologique et l’excellence opérationnelle peuvent contribuer à remodeler les dépendances énergétiques traditionnelles. Par ailleurs, la prévision de BMI d’une augmentation de 40 % des prix pour 2025 reflète l’interaction complexe entre les perturbations de l’offre, la demande croissante et les attentes du marché.
La transformation du paysage énergétique européen va bien au-delà d’une simple réorganisation de la chaîne d’approvisionnement. Alors que des pays comme la Slovaquie, l’Autriche et la Moldavie doivent relever des défis immédiats pour sécuriser des sources de gaz alternatives, la réponse globale de l’Europe met en lumière une évolution remarquable de sa stratégie de sécurité énergétique. Avec des niveaux de stockage robustes et des améliorations d’infrastructures en cours, la transition énergétique de l’Europe illustre comment les défis géopolitiques peuvent être un moteur d’innovation et de résilience stratégique dans le secteur énergétique mondial.
L'ACTIF A SURVEILLERDepuis une semaine, la tendance du gaz naturel s'inverse. Grandes bougies baissières, volume acheteur en forte baisse et rejet de deux résistances, 3.15 et 3.39.
Si on ajoute les saisonnalités, le marché devrait continuer à baisser.
Une clôture sous les 3.01 permettrait un retest du support à 2.27, niveau testé à multiples reprises.
NG1! : Verra-t-on un Rebond ou un Franchissement ?🔍 Analyse du NG1 : Nous approchons d'un niveau de support crucial qui pourrait déterminer notre prochaine action. Option 1 : Un rebond à partir de ce niveau pourrait offrir une solide opportunité d'achat, indiquant une potentielle tendance haussière. Option 2 : Si nous franchissons ce support, le prochain niveau pourrait agir comme un point de pivot clé, incitant à réévaluer notre stratégie. Je surveille de près les opportunités d'entrée à l'achat pour profiter de toute reprise haussière. Restons attentifs !
Le Gaz Naturel à un Niveau de Résistance Clé : Rejet ou Percée ?Salut les traders ! Le Gaz Naturel (GAZ) est actuellement à un niveau de résistance important. Il est possible que le prix soit rejeté à ce niveau et qu’il revienne vers le support. Si cela se produit, on pourrait également voir un comblement du gap au niveau du support, qui pourrait devenir notre zone cible.
Voici ce que je surveille :
Niveau de Résistance : Le prix teste la résistance et pourrait être rejeté prochainement.
Niveau de Support : Un retour vers le support pourrait combler le gap à ce niveau.
Analyse du Gaz Naturel
Nous observons un canal important sur le marché du gaz naturel. Ce canal fonctionne bien, avec de nombreuses réactions à ses niveaux clés. En cas de cassure du canal, le marché tend à accélérer dans la direction de la rupture. Actuellement, la tendance est baissière. Il est crucial de continuer à surveiller ce marché, qui demeure très important pour les investisseurs.
ACHAT NATGASBonjour,
Vous trouverez ci-joint la fiche détaillée du trade pris sur le NATGAS :
Probabilité de réussite : 98% => Investissement long terme, mais efficace.
Capital investi => 500 Euros
Profit espéré => 4000 Euros
Disclaimer : Je ne donne pas de conseils en investissement. je vous partage uniquement mes analyses de marché
=> Si vous désirez bénéficier d'un soutien pour exceller dans le domaine du trading et bénéficier d'un suivi exhaustif pour cette transaction. Je viens de fonder un groupe VIP. Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à me faire parvenir vos demandes par msg privé
Veuillez noter que le nombre de places est limité. Premier arrivé, premier servi.
🚀 Si vous avez aimé et si vous en voulez plus, n'hésitez pas à vous abonner et Boost la publication !
A bientôt
Très bonne journée
Gaz naturel/ Alerte le plancher menace de céderLe GAZ NATUREL ne parvient pas à se reprendre malgré plusieurs tentatives sur la zone des 2.
Alors que l'achat sur cette zone parait évident, l'affaiblissement des cours et le manque de vigueur sur ce niveau font craindre une cassure du support qui conduirait au prochain support majeur des 1,50.
Plan en attente La tendance et le flux sont baissiers.
Premier rejet sous l'oblique baissière.
Je vais malgré tout tenter un achat si replis et rebond sur les 61,8% de Fibonacci.
drapeau sur le gaz NATGAZ /
tendance de fond (D/H4):ENTRE DEUX
flux (H1/M30) :haussier
observation :
-flux full haussier
-flux solide
-petit drapeau M5/15 cassé par le bas
-pull back rater
-re integration du canal plus cassure par le haut
-pull back cassur canal par le haut
analyse 30min :drapeau casser par le haut avec pull back en cours mais sous ces moyennes mobiles
plan safe/attendre la cassure du plus haut du pullback pour lancer un acaht avec objectif le repport du mat du drapeau
plan fun/ tenter un acaht sur la zone actuel 2.772 pour aller chercher le mat du drapeau
plan de range sur nat gaz nat gaz /
tendance de fond (DAYLI/H4) /baissiere
flux (h1/30min) :neutre
OBSERVATION :
-zone de range entre 5.287 et 5.597
-double bottom en bas de range
-cassure reintegration du bas de range
30MIN :cassure reintegration du bas de range avec la formation d'un double bottom
PLAN SAFE : Attendre la validation du set up (cassure de la ligne de coup du double bottom)pour tenter un achat avec comme objectif le haut de range
PLAN FUN : attendre la cloture de la bougie en cours dans la zone de range qui sera consideré comme un pullbak de la reintegration du range puis se placer a l'achat avec un tp1 sur la ligne de coup du double bottom et un TP2 en haut de range ainsi qu'un sl en dessous du plus bas du bottom
GAZ NATUREL DAILYLe gaz après une regression en baisse depuis les 15.000pts regagne une hausse fulgurante pour casser son recent plus haut. L'evolution stratosphérique du gaz est due aux conflits majeurs entre la Russie et l'Otan . Cette explosion en hauteur pourrait se poursuivre sur les 16.000pts .
Plafonnement des prix du gaz ?Le plafonnement des prix du gaz pourrait coûter cher ?
La Commission européenne a proposé un plafonnement des prix du gaz et les ministres de l’UE en charge de l’énergie se sont réunis fin novembre pour en débattre.
Les 27 membres n’ont pas réussi à se mettre d’accord…
L’usine à gaz de Bruxelles
Parmi les pays qui souhaitaient ce plafonnement, on trouve l’Espagne et la France.
Bruno le Maire a défendu cette idée car elle permettrait, selon lui :
“d’imposer un prix maximum aux compagnies productrices”.
C’est bien connu que dans une économie de marché, ce sont les clients qui imposent leur prix d’achat aux producteurs dont ils dépendent !
Eh bien ils vendraient leur production à d’autres clients, au prix de marché !
Le Ministre russe de l’Énergie début septembre :
“toute démarche pour imposer un plafond aux prix va provoquer un déficit sur les propres marchés (des pays initiateurs) et va accroître la volatilité des prix”.
Les autres ministres n’ont pas le niveau de Bruno le Maire et certains ont bien compris que cette mesure serait avant tout dangereuse.
Si Bruxelles plafonne les prix de l’énergie, alors cela viendrait rompre le fragile équilibre entre l’offre et la demande, avec une distorsion des prix en Europe, les cours mondiaux seraient soumis à une très forte volatilité.
L’Allemagne et les Pays-Bas, en particulier, ne veulent pas valider à cause d’une flambée des coûts de leur approvisionnement énergétique.
Et c’est pourquoi ils font le maximum pour que ce plafonnement des prix soit inapplicable !
La Commission européenne doit sauver la face et montrer aux populations qu’elle reste forte face à Poutine.
Mais en réalité, le mécanisme n’aura aucun impact, car pour qu’il s’active il faudrait :
• que le prix du gaz dépasse le montant stratosphérique de 275 € par mégawattheure
• qu’en plus, ce montant soit dépassé pendant une durée de 14 jours
Avec ces conditions, même au mois d’août dernier, lorsque la crise énergétique était à son paroxysme et que les prix du gaz étaient à leur pic historique, le mécanisme de plafonnement ne se serait pas déclenché !
Pourquoi les prix sont-ils aussi élevés ?
Ils ont créé un problème qui n'existait pas !
La hausse des prix ne vient pas d’une baisse de l’offre mondiale, le principal fournisseur en Europe, la Russie, n’a pas baissé sa production, Gazprom, qui nous livrait le gaz, n’a pas fermé les robinets de ses gazoducs.
Alors pourquoi les prix s’envolent ?
Parce que les dirigeants européens ont voulu imposer des “sanctions économiques” à l’économie russe début mars, suite à son intervention en Ukraine !
Et pour cela, ils ont déstabilisé la demande mondiale de gaz en :
• excluant les banques russes du système SWIFT, ce qui a d’abord compliqué les paiements pour les livraisons prévues en 2022
• décidant de stopper leurs importations de gaz russe fin 2022
Des décisions somme toutes politiques.
L’Union européenne a donc créé un bouleversement majeur dans les circuits d’approvisionnements mondiaux, les pays européens ont dû se rapprocher de tous les autres producteurs pour remplacer le gaz russe.
Cela a augmenté les tensions sur la demande et les prix ont explosé à des niveaux jamais vu !
On observe un pic fin février (déclenchement de la guerre), mais ensuite le prix redescend et se stabilise.
Il redécolle vraiment à partir de fin juin, suite aux sanctions qui ont obligé à trouver des alternatives au gaz russe ! Aujourd’hui les stocks européens sont pleins pour l’hiver, donc la demande baisse et le cours est retombé à des niveaux acceptables.
Que va-t-il se passer au printemps 2023 lorsque que l’Europe va de nouveau devoir importer du gaz de façon massive sans passer par la Russie ?
Il est fort probable que la volatilité sur les prix reste importante, car les conditions qui ont fait exploser le prix du gaz en 2022 seront toujours présentes en 2023.
Le plus important, c’est que la bascule historique dans les circuits d’approvisionnement a été faite, cela devrait transformer le marché mondial du gaz à long terme.
Le gaz naturel liquéfié (GNL) américain va être le grand gagnant de cette crise énergétique.
Et en ce moment, les entreprises américaines se positionnent pour devenir les futurs leaders mondiaux de l’importation de gaz en Europe !
L’inflation de la zone euro s’est encore accéléréeL’inflation de la zone euro s’est encore accélérée.
D’après Bloomberg, l’indice des prix à la consommation à augmenté de 9,1% entre août 2022 et août 2021, c’est la plus forte hausse jamais enregistrée depuis la création de la monnaie unique.
Bien sûr, la guerre en Ukraine n’arrange rien ! l’inflation est surtout boostée par l’explosion des prix du gaz.
Pourtant, lorsqu'on mesure l’inflation sous-jacente, on voit que même en excluant les prix de l’énergie et de la nourriture, la hausse des prix n’a jamais été aussi forte depuis plus de 20 ans.
Il n’y a donc pas seulement la guerre en Ukraine qui contribue à la hausse des prix, sans doute que la planche à billets et la brutale reprise post-COVID accentuent l'inflation.
Quoiqu’il en soit, devant une telle accélération, la BCE risque de devoir augmenter ses taux plus fortement que prévu, lors de son intervention la semaine prochaine.
Qu’elle les augmente de 50 points de base était déjà une certitude pour les marchés, mais la majorité des experts estiment désormais qu’elle les augmentera de 75 points de base (= +0,75%).
Est-ce une bonne ou une mauvaise chose, difficile à dire, car les choix de la BCE peuvent être lourds de conséquences dans un sens comme dans l’autre.
Christine Lagarde a en effet moins de marge de manœuvre que son homologue Jérôme Powell (patron de la Fed), car elle doit composer avec l’hétérogénéité des 19 pays membres de la zone euro.
Le problème le plus urgent pour l'Europe actuellement, c'est d'atténuer autant que possible la crise énergétique qui l'attend pour cet hiver.
Le prix du gaz fait exploser le prix de toutes les autres sources d’électricité, la situation énergétique de l’Europe devient critique. À mesure que l’hiver approche, les États membres de l’UE tirent la sonnette d’alarme,
même en rechargeant les stocks à 100%, nous n'échapperons pas aux pénuries de gaz si la Russie coupe les vannes.
la partie est déjà très mal engagée, Gazprom a déjà totalement coupé les vannes à Engie, quant au gazoduc Nord Stream 1, il tourne à 20% de ses capacités et la Russie multiplie les “maintenances”.
Le gaz ne sert pas seulement à nous chauffer, il est également l’une des principales sources d’électricité en Europe, et les conséquences se font déjà sentir.
En France, le prix de gros de l’électricité a même dépassé les 1000€/MWh la semaine dernière (contre environ 50€/MWh il y a un an), soit 20 fois plus cher !
Ça peut sembler étonnant, quand on sait que le gaz représente moins de 7% de la production d’électricité française.
En fait, on doit cette bizarrerie à la politique énergétique européenne qui fixe le prix de l’électricité en fonction du coût de la dernière source d'énergie utilisée.
Le problème c’est qu’avec ce système, quand les coûts des centrales électrique à gaz explosent, le prix général de l’électricité explose aussi.
C’est ce qui pousse la Commission européenne a étudier une nouvelle politique énergétique, mais cela va prendre des années.
En attendant, certains pays membres, dont la France, poussent pour décorréler le prix de l’électricité au prix du gaz.
Quant aux alternatives au gaz russe, elles ne suffiront pas à remplacer les 155 milliards de mètres cubes importés par l’Europe, du moins pas avant 2025 au minimum, et ça, Poutine le sait très bien.
Face à Moscou, les Européens tentent d’afficher un front uni.
Fin avril, quand Gazprom a imposé aux 27 de payer son gaz en roubles, Emmanuel Macron a appelé à n’avoir “aucun esprit de compromission”, mais devant la menace d’une coupure des livraisons de gaz, la plupart des pays européens ont finalement accepté les exigences de Gazprom.
Désormais, l’UE demande à ses pays membres de diminuer de 15% leur consommation de gaz pour tenter de réduire leur dépendance, mais cela fragilise déjà le front européen, car tous les pays ne sont pas prêts à faire de tels efforts, et c’est exactement le but recherché par la Russie.
La Hongrie par exemple, à contre-courant de ses homologues européens, a même négocié de se faire livrer plus de gaz que ce qui était initialement prévu dans les contrats, de son côté, la Bulgarie a relancé les négociations avec Gazprom.
En mai dernier, l’Espagne et le Portugal qui dépendent le moins du gaz russe, avaient déjà obtenu une exemption de la politique énergétique européenne, une exemption que d’autre pays comme la France pourraient être tenté de réclamer également.
Et puis, il y a ce projet de gazoduc entre le Portugal et l’Allemagne pour acheminer le gaz liquéfié américain vers l’Allemagne, mais cette fois, c’est la France qui s’y oppose, pour des raisons environnementales.
l’Europe va certainement être forcée de rétropédaler et de céder, du moins en partie, aux exigences de la Russie. l’hiver arrive, les tensions vont s’accroître !