Kevin Warsh VS Kevin Hassett, qui est le plus dovish ?Alors que la Réserve fédérale a baissé le taux d’intérêt des fonds fédéraux à 3,75% et a engagé un QE technique après avoir mis fin à son programme de QT, le mois de janvier 2026 sera sous l’influence monétaire directe du choix de Donald Trump quant au successeur de Jérôme Powell à partir du mois de mai 2026.
La Président US devrait annoncer son choix au début de l’année prochaine et le choix devrait se faire entre Kevin Hassett et Kevin Warsh selon les toutes dernières données disponibles en terme de consensus. La FED a prix une trajectoire plus accommodante en réengageant une hausse très modérée de son bilan (via un programme d’achat d’obligations court terme pour assurer le bon fonctionnement du marché monétaire et du marché inter-bancaire), mais le cycle à venir du taux d’intérêt des fonds fédéraux reste incertain et va dépendre des données de l’emploi US (rapport NFP) et de l’inflation (PCE & CPI) publiées en janvier et en février.
Mais il faut bien avoir à l’esprit que le marché va aussi être sous la très forte influence du « Shadow FED Chair » qui sera nommé en janvier et qui prendra ses fonctions au printemps.
Qui de Kevin Hassett et de Kevin Warsh peut être considéré comme le plus accommodant en terme de perspectives de politique monétaire ?
Kevin Hassett apparaît aujourd’hui comme le candidat le plus clairement « dovish » du point de vue des marchés. Son profil est avant tout celui d’un économiste orienté croissance, très sensible aux effets des conditions financières sur l’investissement, le marché du travail et la valorisation des actifs. Historiquement, Hassett a toujours défendu l’idée que la politique monétaire devait rester flexible et pragmatique, quitte à tolérer des périodes d’inflation légèrement supérieures à la cible afin d’éviter un resserrement excessif des conditions financières. Dans le contexte actuel, marqué par une dette publique élevée et une dépendance accrue des marchés au niveau de liquidité globale, son approche est perçue comme favorable à la poursuite d’un biais accommodant, voire à une normalisation très progressive des taux réels.
Kevin Warsh incarne une ligne nettement plus orthodoxe et disciplinée sur le plan monétaire. Ancien gouverneur de la FED, il a souvent exprimé ses réserves vis-à-vis des politiques non conventionnelles prolongées, estimant que le QE massif avait contribué à des distorsions importantes sur les marchés financiers et à une mauvaise allocation du capital. Même s’il reste conscient des contraintes systémiques actuelles, Warsh serait davantage enclin à limiter l’expansion du bilan de la FED et à privilégier la crédibilité anti-inflationniste, quitte à accepter une volatilité accrue sur les marchés actions.
Le différentiel entre les deux profils est donc central pour la trajectoire future des actifs risqués. Un choix en faveur de Kevin Hassett renforcerait le scénario d’une FED « market-friendly », maintenant des conditions de liquidité favorables et soutenant implicitement les multiples de valorisation, notamment sur le S&P 500.
À l’inverse, la nomination de Kevin Warsh introduirait un biais plus restrictif à moyen terme, avec un risque de réévaluation des anticipations de taux et un plafonnement de la dynamique haussière des marchés actions.
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Tout investissement comporte un risque. Le risque de perte en tradant ou en détenant des instruments financiers peut être important. La valeur des instruments financiers, y compris mais sans s’y limiter, actions, obligations, cryptomonnaies et autres actifs, peut fluctuer à la hausse comme à la baisse. Il existe un risque important de perte financière lors de l'achat, de la vente, du staking ou de l'investissement dans ces instruments. SQBE ne recommande aucun investissement, transaction ou stratégie en particulier.
Les CFD sont des instruments complexes comportant un risque élevé de perte rapide en raison de l'effet de levier. La grande majorité des comptes de clients de détail subissent des pertes en capital lors du trading de CFD. Vous devez vous assurer que vous comprenez le fonctionnement des CFD et que vous pouvez vous permettre de prendre un risque élevé de perte.
Les actifs numériques ne sont pas régulés dans la plupart des pays et les règles de protection des consommateurs peuvent ne pas s’appliquer. En tant qu'investissements hautement volatils et spéculatifs, ils ne conviennent pas aux investisseurs ayant une faible tolérance au risque. Assurez-vous de bien comprendre chaque actif numérique avant de trader.
Les cryptomonnaies ne sont pas considérées comme une monnaie légale dans certaines juridictions et sont soumises à des incertitudes réglementaires.
L'utilisation de systèmes basés sur Internet peut entraîner des risques importants, notamment, mais sans s’y limiter, la fraude, les cyberattaques, les pannes de réseau et de communication, ainsi que le vol d’identité et les attaques de phishing liées aux crypto-actifs.
Idées de la communauté
WEEKLY OUTLOOK La BCE à gardé ses taux inchangé à 2% ( sur dépôts ) ce qui reste cohérent au vue du niveaux d'inflation plutôt résilient que l'Europe couve. Lors de son discours elle à préférer resté neutre en expliquant, que les actions de 2026 seront en accord avec les données qui sortiront au fur et à mesure.
Cependant la dette de la France continue de s'alourdir, avec des député qui n'ont toujours pas trouvé de compris sur le budget ( oui oui toujours pas de compromis )
Aux US je pense que vous n'avez pas pu manquer les chiffres assez accommodante de l'inflation ( qui pour la première fois depuis juin 2025 plus de 6 mois )
Ce petit coup de pouce a permis aux investisseurs de continuer à croire à une futur politique plus accommodante ( de jeudi à la clôture vendredi le nasdaq à pris 3,45% )
Et pendant que les chiffres tombent que les idées se mettent en place le gentil président américain réfléchis au prochains président de la FED.....
Le BOJ continue de Réhausser ses taux d'intérêt ce qui les fait monté désormais à 0,75%.
Les matières premières elles prennent en force ( surtout l'or avec son nouvelle ATH depuis cette nuit ) le pétrole qui à d'ailleurs réussi à repoussé les derniers plus bas et cote pratiquement à 58$
Voici mon truc pour la fin d'année : rien/ rien du tout.
plus de volatilité sur cette fin d'année y a vraiment aucun intérêt à trader et encore moins sur des UT plus petites.
holiday jusqu'a lundi pro, la vol ne devrais retrouvé de la force que d'ici le 5 janvier pas avant donc se mettre dedans équivaudrait à perdre de l'argent bêtement.
Le vix n'est vraiment pas loin de faire son plus bas annuel, fin vous l'avez compris personnellement trader la serait du gachis d'autant plus si vous avez des profits.
Bon trading à tous et toutes ( faites attention à votre meilleur amis -> votre capital )
BPR (Balanced Price Range)Maintenant que vous avez lu mon tutoriel sur les Fair Value Gap (BISI - SIBI), je vous fait un tutoriel sur les BPR qui est dans la continuité des FVG.
Les BPR est un concept qui est très peu connu, mais qui est extrêmement puissant
📔 DEFINITION:
Un BPR est une zone dans laquelle les banques rééquilibrent l’offre et la demande avant de continuer leur mouvement.
Il se matérialise par :
🕵️un mouvement fort impulsif qui créé un SIBI puis directement après un BISI
trois bougies en alignement
une zone d’intérêt interne.
🧐 POURQUOI UN BPR EST PUISSANT:
1️⃣ Il donne un signal de continuité
2️⃣ Un retest maitrisé et probable
3️⃣ Un point d'entrée à faible risque
💡 ASTUCE:
Pour qu'un BPR soit valide et puissant, il faut que le BISI et SIBI soit fait quasiment au même moment (comme l'exemple que je vous ai mis)
Il faut prendre le BPR dans le sens de la tendance.
Personnellement les BPR je les regarde en H1/H4
🎯 COMMENT ENTREE EN POSITION:
Une fois le BPR détecter sur mon graphique (Comme l'exemple en image) , si le prix part dans ma tendance alors :
1️⃣ J'attend que le prix revienne au niveau de mon BPR
2️⃣ Je rentre en position (si tendance haussier je buy/ si tendance baissière je Sell)
3️⃣ SL sous un SWING LOW (Achat) OU SWING HIGH (Vente)
🎯 Pour les entrée vous avez 3 types d'entrée en position.
✅ 1️⃣. Prendre position à l'entrée du BPR (Méthode agressive)
✅ 2️⃣. prendre position au 50% du BPR (Méthode plus courant)
✅ 3️⃣. prendre position en bas du BPR (Méthode Safe)
💡 Personnellement, j'utilise le type 1️⃣ et le type 2️⃣ d'entrée en position.
🔴 STOP LOSS : Sous un SWING LOW pour une FVG BULLISH ou sous un SWING HIGH pour une FVG BEARISH.
🟢 TAKE PROFIT : RR de 1/2.
Merci de m'avoir lu
L'ARGENT NOUVELLE OR ? Depuis la fin de l’été, l’or est au centre de toutes les attentions. Le métal jaune a inscrit de nouveaux sommets historiques, alimentant à la fois fascination et inquiétude. Pour beaucoup d’investisseurs, la question n’est plus pourquoi l’or monte, mais jusqu’où et surtout à quel prix faut-il encore acheter.
Cette hausse rapide a naturellement ravivé une peur bien connue des marchés : celle d’entrer trop tard, sur des niveaux jugés excessifs. Pourtant, malgré cette crainte omniprésente, une conviction reste solide : les matières premières, et en particulier les métaux précieux, occupent à nouveau une place centrale dans l’allocation des capitaux.
Pourquoi l’or reste structurellement soutenu ?
La dynamique de l’or ne repose pas uniquement sur la spéculation ou la peur. Elle est avant tout structurelle.
Depuis plusieurs années, les banques centrales sont redevenues des acheteurs massifs d’or. En 2024, leurs achats ont dépassé les 1 000 tonnes pour la troisième année consécutive, portant la demande totale mondiale à un niveau record.
Cette tendance traduit une volonté claire :
-> réduire la dépendance au dollar,
-> renforcer la crédibilité monétaire,
-> se protéger contre l’inflation, les tensions géopolitiques et l’instabilité financière.
À cela s’ajoute le retour des flux d’investissement, notamment via les ETF adossés à l’or, qui ont enregistré de fortes entrées en 2025. L’or retrouve ainsi son rôle historique de réserve de valeur et d’actif de confiance dans un environnement où les certitudes macroéconomiques s’érodent.
Le problème de l’or : un prix devenu dissuasif :
Mais cette solidité a un revers.
À des niveaux historiquement élevés, l’or pose un problème simple pour certains investisseurs : le point d’entrée.
Acheter un actif déjà proche de ses records suppose une forte conviction sur la poursuite du mouvement. Pour une partie du marché, cela devient psychologiquement difficile, surtout lorsque la performance future semble plus progressive que spectaculaire.
C’est précisément dans ce contexte que les capitaux commencent à regarder ailleurs, sans pour autant abandonner la thèse des métaux précieux.
L’argent : l’alternative naturelle… mais pas anodine :
L’argent revient alors naturellement dans le radar des investisseurs.
Historiquement, l’argent partage de nombreuses caractéristiques avec l’or :
-> valeur monétaire ancienne,
-> protection contre l’érosion monétaire,
-> actif tangible et limité.
Mais contrairement à l’or, l’argent est aujourd’hui porté par un second moteur puissant : la demande industrielle.
Panneaux solaires, électrification, transition énergétique, électronique… L’argent est devenu un métal clé de l’économie moderne. Résultat : le marché mondial de l’argent affiche un déficit structurel depuis plusieurs années, avec une demande supérieure à l’offre disponible. En 2024, ce déficit a atteint près de 150 millions d’onces.
Autrement dit, l’argent ne repose pas uniquement sur la peur ou la protection, mais aussi sur la croissance industrielle réelle.
Un potentiel plus explosif… mais un risque plus élevé
C’est là toute la nuance essentielle.
L’argent est souvent perçu comme un “or moins cher”. En réalité, il agit plutôt comme un levier sur la thèse des métaux précieux :
lorsqu’un cycle haussier s’installe, l’argent a tendance à surperformer, mais en contrepartie, il est beaucoup plus volatil.
Ses mouvements sont plus amples, dans les deux sens. En période de stress économique ou de ralentissement industriel, l’argent peut corriger violemment, là où l’or résiste mieux.
Or ou argent : une fausse opposition :
Opposer l’or et l’argent est donc une erreur de lecture.
Ils ne jouent pas le même rôle :
l’or est un actif de stabilité, de protection macroéconomique et monétaire, l’argent est un actif hybride, à la croisée du monétaire et de l’industriel, avec un potentiel de performance supérieur mais un risque accru.
La question pertinente n’est pas lequel choisir, mais comment les intégrer intelligemment dans une stratégie globale, en fonction de son horizon de temps, de sa tolérance au risque et du contexte macroéconomique.
Conclusion
Le retour en grâce des métaux précieux n’est pas un phénomène passager. Il reflète un monde en transition, marqué par l’incertitude monétaire, la fragmentation géopolitique et la réindustrialisation stratégique.
Dans ce cadre :
l’or pose les fondations, l’argent en est l’accélérateur potentiel.
Comprendre cette différence est essentiel pour éviter les décisions émotionnelles et construire une exposition cohérente, rationnelle et durable aux matières premières.
MAINTENIR UNE PERSPECTIVE POSITIVE POUR L'AVENIRSalut l'équipe ! On termine cette semaine spéciale "Mental d'Acier" avec le carburant le plus puissant qui existe : l'optimisme. Attention, je ne parle pas d'être "naïf" et de croire qu'on va gagner à tous les coups. Je parle d'une attitude de gagnant qui permet de se relever après chaque chute.
➡️L'Optimisme Constructif : Voir l'échec comme une "Donnée" et non une "Punition"
Ce qui vide votre batterie d'énergie, c'est de prendre les pertes personnellement. Si vous voyez chaque stop-loss touché comme un signe que "vous êtes nul", vous n'aurez plus aucune motivation pour trader demain. Pour garder une perspective positive, changez votre vocabulaire :
- Ne dites pas : "J'ai échoué."
- Dites : "J'ai appris ce qui ne marche pas." En voyant le marché comme un laboratoire d'apprentissage, chaque défi devient une énigme excitante à résoudre, et non un mur infranchissable. C'est ça qui donne l'envie de se lever le matin !
➡️L'Effet "Prophétie Auto-réalisatrice" : Votre énergie attire vos résultats
C'est simple : si vous abordez les graphiques avec la peur au ventre et en pensant aux problèmes futurs, vous allez hésiter, manquer des opportunités et faire des erreurs. La peur consomme énormément d'énergie mentale. À l'inverse, si vous cultivez la certitude que vous pouvez progresser et réussir, vous libérez votre esprit. Vous devenez plus créatif, plus réactif et plus endurant. La motivation ne tombe pas du ciel, elle vient de votre confiance en votre capacité à gérer tout ce que le marché vous enverra, que ce soit bon ou mauvais.
💡 Astuce : (La Visualisation Positive du Matin) Chaque matin, avant même d'ouvrir vos écrans, prenez 2 minutes pour fermer les yeux. Ne visualisez pas seulement l'argent. Visualisez-vous en train de trader parfaitement : vous êtes calme, vous respectez votre plan, vous acceptez une perte sans broncher et vous laissez courir un gain. Cette "répétition mentale" prépare votre cerveau à la réussite et booste votre motivation instantanément.
RÉDUIRE LE RISQUE D'ÉPUISEMENT ÉMOTIONNELSalut l'équipe ! Le trading est un métier de performance intense. On passe notre temps à analyser nos erreurs et à chercher le prochain gain. À force de toujours regarder ce qui nous manque, on finit par s'épuiser mentalement. Aujourd'hui, on appuie sur "Pause" pour recharger les batteries.
➡️Arrêter de regarder le sommet de la montagne : Regardez le chemin parcouru
Le risque principal du trader, c'est le "syndrome de l'insatisfaction chronique". Vous vous reprochez ce trade raté, cette sortie trop tôt, ou cet objectif annuel non atteint. Pour éviter l'épuisement, changez de perspective : au lieu de regarder la distance qui vous sépare de votre objectif final (le sommet), regardez la distance que vous avez déjà parcourue depuis vos débuts.
- Vous comprenez mieux les graphiques qu'il y a 6 mois ?
- Vous gérez mieux votre risque ?
- Vous êtes plus discipliné ? C'est ça, la vraie réussite. Prenez un moment pour être fier de cette progression.
➡️La Gratitude comme outil de performance : Calmer le cerveau émotionnel
La gratitude n'est pas juste un concept "bien-être", c'est un outil technique pour votre cerveau. Quand vous êtes en mode "manque" ou frustration, votre cerveau produit du cortisol (hormone du stress). Un trader stressé prend de mauvaises décisions, force des trades et perd de l'argent. À l'inverse, ressentir de la satisfaction et de la gratitude apaise le système nerveux. En vous accordant ce moment de calme et en appréciant ce que vous avez (votre capital, vos connaissances, votre santé), vous remettez votre cerveau dans les conditions idéales pour performer sereinement à la reprise.
💡 Astuce : L'exercice des "3 Victoires" Ce soir, avant de dormir ou de fermer vos écrans, ne regardez pas votre P&L (gains/pertes). Notez simplement sur un papier 3 choses positives que vous avez accomplies récemment dans votre trading (ex: "J'ai respecté mon stop-loss", "J'ai été patient ce matin", "J'ai bien identifié cette structure"). C'est le meilleur moyen de booster votre confiance.
MAINTENIR LA CONCENTRATION SUR VOS OBJECTIFSSalut l'équipe ! En cette période de fin d'année, entre les repas de famille, les fêtes et la détente générale, il est très facile de "lâcher prise" et de perdre sa discipline. Mais rappelez-vous : le marché, lui, ne dort pas (ou peu), et vos concurrents non plus. Aujourd'hui, on apprend à rester focus.
➡️La "Zone de Focus" : Bloquer des Créneaux Inviolables
L'erreur numéro 1, c'est d'essayer de travailler "quand on a le temps" entre deux bûches de Noël. Ça ne marche pas. La solution est la compartimentation.
- Profitez des fêtes, c'est important pour le mental. Mais définissez 1 ou 2 heures par jour (par exemple, de 8h à 10h) qui sont NON-NÉGOCIABLES.
- Prévenez votre entourage : "Pendant ce créneau, je ne suis pas disponible, je travaille sur mon avenir."
- Pendant ce temps, le téléphone est en mode avion, la porte est fermée. Vous faites votre backtesting, votre revue de l'année ou votre formation. Une fois l'heure passée, vous pouvez retourner profiter pleinement de la fête sans culpabilité.
➡️La Vision Long Terme : Ne pas sacrifier votre Avenir pour un Plaisir Immédiat
Les distractions sont tentantes (soirées tardives, excès...). C'est ce qu'on appelle la "gratification immédiate". Pour rester concentré, vous devez reconnecter avec votre "Pourquoi".
- Pourquoi avez-vous commencé le trading ? Pour la liberté ? Pour mettre votre famille à l'abri ?
- À chaque fois que vous êtes tenté de sauter votre session de travail pour une distraction inutile, posez-vous la question : "Est-ce que ce que je m'apprête à faire me rapproche ou m'éloigne de mon objectif ?"
- La discipline, c'est choisir ce que vous voulez vraiment (le succès long terme) plutôt que ce que vous voulez maintenant (la facilité).
💡 Astuce : La Règle du "Paye-toi en premier" N'attendez pas la fin de la journée pour travailler sur vos objectifs, car vous serez fatigué ou distrait. Faites votre session de trading ou d'étude dès le réveil, avant que le tourbillon des fêtes ne commence. Une fois que c'est fait, vous avez gagné votre journée !
Prudence,le pourcentage de cash chez les gérants est au plus basSelon la toute dernière étude « Global Fund Manager Survey » de la BofA, le pourcentage de cash chez les gérants est tombé à 3,3%, soit le niveau le plus bas depuis 1999. En terme d’allocation d’actifs, les mesures très basses du pourcentage de cash chez les gérants ont coïncidé avec les périodes de sommet du marché actions. Au contraire, les périodes où le pourcentage de cash atteignait une zone haute était souvent précurseur d’un creux majeur pour le marché, de la fin d’un marché baissier.
Alors que la valorisation du S&P 500 est en zone d’excès haussier, ce nouveau plus bas historique du pourcentage de cash chez les gérants est donc un signal de prudence car tôt ou tard ce pourcentage de cash va rebondir et cela va donc se traduire par des pressions baissières sur le marché actions. C’est en effet le principe de base de l’allocation d’actifs entre le cash, le marché actions et le marché obligataires avec des réservoirs qui se déversent les uns dans les autres. C’est le principe fondamental de l’allocation d’actifs : les réservoirs que sont le cash, les actions et les obligations se remplissent et se vident les uns au détriment des autres.
Ce signal est d’autant plus important qu’un niveau de cash aussi bas signifie que les gérants sont déjà très investis. Autrement dit, la majorité des capitaux disponibles a déjà été allouée au marché actions. Dans ce contexte, le potentiel d’acheteurs marginaux se réduit fortement, ce qui rend le marché plus vulnérable au moindre choc négatif : déception macroéconomique, remontée des taux longs, tensions géopolitiques ou simple prise de bénéfices.
Par ailleurs, un cash historiquement faible traduit un consensus haussier extrême. Or, les marchés financiers ont tendance à évoluer à contre-courant des consensus trop établis. Lorsque tout le monde est déjà positionné dans le même sens, le rapport rendement/risque devient défavorable. Le marché n’a alors plus besoin d’une mauvaise nouvelle majeure pour corriger : l’absence de nouvelles positives suffit parfois à enclencher un mouvement de consolidation.
Il est également important de rappeler que la hausse du S&P 500 s’est accompagnée d’une concentration extrême des performances sur un nombre restreint de valeurs, principalement liées à la technologie et à l’intelligence artificielle. Dans un tel environnement, un simple rééquilibrage de portefeuilles ou une rotation sectorielle peut amplifier les mouvements baissiers.
Enfin, le retour progressif du cash ne se fait généralement pas de manière indolore pour les marchés actions. Il s’accompagne souvent d’une phase de volatilité accrue, voire de correction, permettant de rétablir un équilibre plus sain entre valorisation, positionnement et perspectives économiques.
En résumé, ce niveau historiquement bas du cash chez les gérants ne constitue pas un signal de krach imminent, mais il invite clairement à la prudence, à une gestion du risque plus rigoureuse et à une sélectivité accrue sur le S&P 500, dans un environnement où l’optimisme semble déjà largement intégré dans les prix.
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Les CFD sont des instruments complexes comportant un risque élevé de perte rapide en raison de l'effet de levier. La grande majorité des comptes de clients de détail subissent des pertes en capital lors du trading de CFD. Vous devez vous assurer que vous comprenez le fonctionnement des CFD et que vous pouvez vous permettre de prendre un risque élevé de perte.
Les actifs numériques ne sont pas régulés dans la plupart des pays et les règles de protection des consommateurs peuvent ne pas s’appliquer. En tant qu'investissements hautement volatils et spéculatifs, ils ne conviennent pas aux investisseurs ayant une faible tolérance au risque. Assurez-vous de bien comprendre chaque actif numérique avant de trader.
Les cryptomonnaies ne sont pas considérées comme une monnaie légale dans certaines juridictions et sont soumises à des incertitudes réglementaires.
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MA STRATÉGIE PERSONNELVoici ma stratégie et les étapes que je suis de manière rigoureuse avant de prendre un trade.
Avant cela, un court point sur mon style de trading.
Je pratique majoritairement le swing trading, avec des positions qui peuvent durer de plusieurs semaines à plusieurs mois. Il m’arrive également de me hedger ponctuellement via de l’intraweek, à travers des positions plus courtes, de quelques jours.
Ma stratégie
Filtre 1 — Macroéconomie
Je commence par définir une zone géographique et un secteur qui m’intéressent.
J’effectue ensuite une veille approfondie :
- économique
- politique
- géopolitique
L’objectif est de prendre la température du marché et d’identifier le cycle économique dans lequel évoluent le secteur ou l’entreprise que j’observe, afin de déterminer s’il existe une direction exploitable.
Si l’ensemble de mes critères est validé, j’évalue alors le niveau de risque que je suis prêt à prendre, en fonction du degré de conviction que j’accorde à l’analyse macro réalisée.
Filtre 2 — Intention de marché
Je poursuis par une analyse transversale de différents secteurs et entreprises :
observe-t-on des transferts de capitaux ?
quels secteurs surperforment ou sous-performent ?
certains marchés sont-ils en phase de latéralisation ?
Cette étape me permet de comprendre où se porte l’attention des investisseurs de manière globale, et de vérifier si mon idée initiale est :
cohérente avec le marché,
encore trop en avance,
ou tout simplement invalide.
Filtre 3 — Analyse technique
J’utilise ensuite l’analyse technique uniquement pour timer l’entrée en position.
La question centrale est simple :
la structure technique est-elle alignée avec ma vision macro et mon analyse d’intention de marché (filtres 1 et 2) ?
Je m’assure d’être positionné sur des niveaux de prix pertinents et d’avoir une convergence de signaux avant toute prise de position.
C’est à ce moment-là que j’entre en position et que je passe dans la phase de management du trade mais cela fera l’objet d’un autre sujet.
SUR INFORMATION OU PAS ASSEZ D'INFORMATIONJe viens de voir la story d’une personne assez connue sur les réseaux sociaux, notamment pour son activité autour du trading de cryptomonnaies.
Il y partage son ressenti et son expérience concernant la prise d’information et l’impact potentiellement négatif qu’elle peut avoir sur le trading. Je comprends l’idée générale, mais je suis loin d’être entièrement d’accord avec son analyse.
Prenons ses arguments un par un.
1️⃣ « Tout regarder, plus de vidéos, plus d’analyses, plus d’avis… le résultat, c’est qu’on se sent perdu. »
Oui… mais le véritable problème ici n’est pas la quantité d’informations, c’est leur nature et leur niveau.
Regarder plus de vidéos, c'est ok
Lire plus d’avis, c'est ok
Analyser davantage de contenus, c'est ok
La vraie question est : quoi regardez-vous ? Qui vous informe ?
Se saturer d’analyses et d’opinions issues des réseaux sociaux n’a absolument pas la même valeur que s’exposer à des recherches, des rapports et des réflexions produites par des professionnels de la finance ou des institutions sérieuses. La portée, la profondeur et le degré de fiabilité ne sont tout simplement pas comparables.
2️⃣ « La croyance la plus dangereuse serait de penser qu’il faut consommer plus d’informations pour réussir. »
Sur le principe, l’intention est compréhensible. Mais dans les faits, je ne suis pas d’accord.
Encore une fois, tout dépend de ce que l’on consomme.
Accumuler des avis fragiles, émotionnels ou peu structurés autour d’une idée de trading n’a rien à voir avec le fait de construire une synthèse à partir d’analyses macroéconomiques, de données de marché et de réflexions profondes produites par de grandes institutions financières.
Nous ne sommes pas sur la même échelle de compréhension, ni sur le même degré de certitude.
3️⃣ « Les meilleurs traders ne consomment pas plus, ils filtrent. »
Oui… et non.
Les meilleurs traders consomment énormément d’informations.
La différence, c’est qu’ils savent filtrer, hiérarchiser et ignorer tout ce qui est inutile ou bruité. Le filtrage est effectivement fondamental, mais il ne remplace pas la matière première : l’information elle-même.
Conclusion:
Ce qu’il faut retenir, ce n’est pas qu’il faut consommer moins d’informations, mais qu’il faut mieux les sélectionner.
La prise d’information est primordiale, à condition qu’elle soit menée avec rigueur, méthode et esprit critique.
Être performant sur les marchés repose en grande partie sur la capacité à collecter rapidement l’information pertinente, à la traiter efficacement, et à la transformer en avantage décisionnel.
Liquidité monétaire : le Russell 2000 en première ligneLe Russell 2000 est un indice boursier américain qui regroupe environ 2 000 petites capitalisations cotées aux États-Unis. Contrairement au S&P 500 ou au Nasdaq, largement dominés par de grandes multinationales à forte exposition internationale, le Russell 2000 reflète avant tout la dynamique économique domestique américaine des petites et moyennes entreprises.
Les entreprises qui le composent sont généralement plus jeunes, plus endettées et plus dépendantes des conditions de financement que les grandes capitalisations. Elles tirent l’essentiel de leurs revenus du marché intérieur et sont donc particulièrement sensibles à l’évolution de la croissance, de la consommation et du coût du crédit aux États-Unis. Pour cette raison, le Russell 2000 est souvent considéré comme un baromètre avancé du cycle économique américain et de l’appétit pour le risque sur les marchés financiers.
Cet indice est également l’un des plus sensibles aux conditions de liquidité monétaire, actuelles comme anticipées. Les phases de baisse des taux directeurs et de politiques monétaires accommodantes, notamment les programmes de quantitative easing (QE), lui sont historiquement favorables. Lorsque la Réserve fédérale assouplit sa politique, le coût du capital diminue, les conditions de refinancement s’améliorent et l’accès au crédit devient plus fluide pour les petites et moyennes entreprises.
Dans ce contexte, la récente décision de la FED de ramener le taux des fonds fédéraux à 3,75 %, combinée à l’annonce d’un QE qualifié de « technique », constitue un signal puissant pour les actifs les plus dépendants de la liquidité. Le Russell 2000, par sa structure même, agit comme un amplificateur de ces changements de régime monétaire : lorsque la liquidité revient ou que les marchés l’anticipent, il tend à surperformer les indices de grandes capitalisations.
Sur le plan technique, un signal de continuation haussière vient d’être donné sur l’horizon de temps hebdomadaire. L’indice vient de franchir à la hausse son ancien record historique, établi fin 2021, niveau qui faisait office de résistance majeure depuis plus de quatre ans. Cette cassure s’inscrit dans une structure de tendance haussière de long terme clairement identifiable, avec une succession de creux et de sommets ascendants. Le dépassement de cette zone clé valide une sortie par le haut d’une large phase de consolidation et transforme l’ancien sommet en nouveau support potentiel.
D’un point de vue chartiste, ce type de franchissement au-dessus d’un plus haut historique constitue un signal classique de continuation de tendance, d’autant plus pertinent qu’il intervient dans un environnement monétaire redevenu davantage accommodant. Tant que l’indice se maintient au-dessus de ce seuil, la dynamique de fond reste haussière, avec un potentiel de poursuite du mouvement alimenté à la fois par la technique et par la liquidité globale. Attention, les phases de correction sont toujours sur l’horizon de temps court terme.
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Les fondamentaux à connaitre sur la spéculation en bourse
Bonjour à toutes et à tous,
Avant toute prise de position sur les marchés financiers, dans une logique d’investissement long terme ou dans des stratégies court terme comme le scalping, certains fondamentaux doivent être parfaitement assimilés. Ils sont trop souvent négligés, alors qu’ils conditionnent directement à la pérennité de vos résultats. Je vais essayer ici de vous ouvrir les yeux sur un paramètre oublié des traders retails et vous offrir une autre vision du marché. Bonne lecture !
La formation constitue le socle de toute démarche sérieuse :
Passer un ordre sur un marché financier est une opération très simple. Mais comprendre la structure d’un marché, ses dynamiques et les mécanismes qui le gouvernent exige un réel travail d’apprentissage. Débuter sans connaissances expose à des erreurs systématiques. À ce stade, l’apprentissage des bases à travers des contenus pédagogiques fiables ( YouTube, internet, livres … ) est INDISPENSABLE avant toute actions sur les marchés de votre part .
Une fois ces fondations posées, si vous vous tournez vers le trading, le recours aux comptes de démonstration est une étape essentielle. Il permet de confronter la théorie à la pratique sans risque financier.
En parallèle, un approfondissement rigoureux de l’analyse technique et de l’analyse fondamentale s’impose. L’élaboration strict d’une stratégie claire et adaptée à son profil constituent des facteurs déterminants de votre performance. La discipline n’est pas une option, c’est un avantage compétitif.
Quel est le gros problèmes si tabou que personne ne comprend ?
Abordons maintenant un point central, rarement traité en profondeur, et pourtant au cœur du fonctionnement des marchés.
Tout actif financier, qu’il s’agisse d’actions, d’obligations, de devises ou de tout autre sous-jacent, évolue exclusivement en fonction des flux d’achats et de ventes causé par l’ensemble des acteurs sur le marché.
Cette interaction permanente crée une structure mesurable, rationnelle et modélisable. La plupart du temps étudiée par les retails. Cette composante peut être assimilée à l’Alpha, la dimension « technique » et « mathématique » du marché.
Cependant, si une large majorité de traders particuliers demeure structurellement non rentable, la raison principale réside dans un second paramètre, nettement plus complexe. Un paramètre qui ne répond pas à une logique purement mathématique : le facteur humain.
Les émotions, la peur, l’euphorie, l’excès de confiance ou encore les croyances collectives influencent profondément les décisions, aussi bien chez les traders particuliers que chez les institutions financières. Ces éléments doivent ABSOLUMENT être intégrés à toute analyse sérieuse, en tenant compte du contexte économique, monétaire et géopolitique. Une annonce économique, prise isolément, ne détermine pas la direction d’un marché. Ce sont les réactions émotionnelles des acteurs, notamment les grandes institutions financières et les banques : Goldman , BNP, JP , BOA, Rothschild, …. Ce seront eux qui donnent naissance au mouvement. Le marché ne réagit pas à l’information elle-même, mais à la manière dont ils vont l’interpréter et l’exploiter.
Prenons un exemple concret :
L’annonce de mesures tarifaires de Donald Trump génère une hausse de l’incertitude au sein des institutions = Les marchés actions chutent, tandis que les capitaux sont redirigés vers des actifs refuges, tels que l’or.
Ce mouvement attire ensuite les investisseurs particuliers, souvent par effet de rattrapage émotionnel ( FOMO ).
Lorsque ces mesures sont annulées ou assouplies, la confiance institutionnelle revient. Les indices actions surperforment de nouveau, tandis que l’or entre en phase de retracement.
La question est alors simple : Est-ce l’annonce politique qui a fait chuter le marché ?
La réponse est NON . Ce sont les réactions émotionnelles des investisseurs qui ont provoqué le mouvement.
Cette donnée, extrêmement complexe à quantifier, explique pourquoi les marchés resteront fondamentalement imprévisibles tant que les décisions seront prises par des humains. Ce facteur, que l’on peut qualifier de Bêta, est une composante à part entière de l’économie moderne. Il est pourtant largement négligé en raison de sa complexité et de sa faible attractivité pédagogique.
Peu de contenus enseignent réellement la lecture et la gestion du sentiment de marché, car le sujet est moins accessible, moins immédiat et plus exigeant intellectuellement qu’un simple indicateur technique.
Tracer un retracement de Fibonacci sur une tendance est bien plus simple ! Je vous l’accorde ! Mais sans analyses du sentiment de ces gros acteurs, la probabilité de réussite est un PILE ou FACE. S’ils craignent pour leur argent, vendez les actions. Si rien ne se passe, soyez à l’affut de la moindre informations qui les feraient paniquer. La dernière pièce du puzzle est la !
Alpha plus Bêta définissent la direction du sous-jacent et conditionnent la performance durable sur le long terme.
C’est sur cet équilibre, et non sur un seul levier, que repose une approche des marchés véritablement professionnelle.
En conclusion, le facteur Bêta ne s’interprète pas à travers l’information elle-même, mais à travers la réaction du marché. La dynamique du prix, sa capacité à absorber une annonce et le repositionnement des flux révèlent l’état émotionnel réel des acteurs. Un marché qui résiste à une nouvelle négative ne contredit pas l’économie, il expose un déséquilibre comportemental de la part des institutionnels.
Les institutions ne cherchent pas à prédire, mais à exploiter ces asymétries émotionnelles. À l’inverse, une approche fondée sur l’anticipation expose à l’erreur.
La performance durable repose sur l’observation de leurs réactions collectives sur un timing aligné avec le cycle émotionnel du marché. C’est à cet équilibre que se construira votre lecture parfaite des marchés.
Merci de m’avoir lu, j’espères que cet article vous aura montré une vision différente des marchés et quelques connaissances supplémentaires.
LA MEILLEUR STRATÉGIE N'EXISTE PAS Le mythe de la “meilleure stratégie” en trading
L’une des croyances les plus répandues dans le trading consiste à penser qu’il existerait une stratégie universelle, capable de fonctionner en toutes circonstances et sur tous les marchés. Cette idée est séduisante, car elle promet simplicité et sécurité. Pourtant, elle est fondamentalement erronée. Les marchés financiers ne sont pas statiques : ils évoluent, changent de régime et alternent entre différentes phases. Chercher une stratégie unique revient à ignorer la nature même des marchés.
Une stratégie ne vaut que dans son environnement
En finance de marché, une stratégie n’a jamais de valeur absolue. Elle n’existe que relativement à un environnement donné.
Un marché peut être :
- tendanciel,
- en range,
- fortement volatil,
- ou au contraire très compressé.
Une stratégie de suivi de tendance peut exceller dans un marché directionnel, mais devenir inefficace voire destructrice dans un marché sans direction claire. À l’inverse, une stratégie de retour à la moyenne peut être pertinente dans un marché stable, mais subir des pertes rapides lors d’un changement de régime.
Les travaux académiques sur les régimes de marché montrent précisément cela : la performance d’une approche dépend moins de la méthode elle-même que du contexte dans lequel elle est appliquée. Une stratégie rentable dans un régime peut avoir une espérance négative dans un autre.
La pluralité des stratégies : une nécessité, pas un luxe
Les acteurs professionnels ne raisonnent jamais en “stratégie unique”. Les hedge funds, les desks institutionnels ou les gestionnaires multi-assets utilisent des portefeuilles de stratégies. Pourquoi ?
Parce qu’aucune approche ne domine durablement tous les environnements.
Certaines stratégies exploitent :
- la tendance,
- la volatilité,
- les écarts de valorisation,
- les flux,
- ou les anomalies temporaires.
Cette pluralité permet :
- de lisser la performance,
- de réduire la dépendance à un seul régime,
- d’augmenter la robustesse dans le temps.
Ce principe est bien connu en gestion quantitative : une stratégie peut afficher une performance attractive sur plusieurs années simplement parce que le marché lui est favorable, puis s’effondrer lorsque le régime change. La diversification stratégique est donc une réponse directe à l’incertitude structurelle des marchés.
Les marchés évoluent en permanence
L’erreur la plus courante consiste à analyser les marchés comme s’ils étaient stables. En réalité, ils sont influencés par :
- la politique monétaire,
- les cycles économiques,
- les flux de liquidité,
- la réglementation,
la structure des participants (algorithmes, CTA, options).
Un environnement de taux bas n’implique pas les mêmes comportements qu’un environnement de taux élevés. De la même manière, un marché dominé par la liquidité n’obéit pas aux mêmes dynamiques qu’un marché dominé par la contraction du crédit. Ces changements modifient la structure même du prix, de la volatilité et des réactions techniques.
Trader sans tenir compte de cette évolution revient à utiliser une carte qui n’est plus à jour.
L’adaptation comme compétence centrale du trader
La véritable compétence en trading n’est pas la maîtrise d’une stratégie, mais la capacité à :
identifier le régime de marché,
comprendre ce que le marché est en train de pricer,
ajuster son approche en conséquence.
Cela implique parfois :
- de réduire son activité,
- de changer d’horizon temporel,
- ou même de ne pas trader du tout.
Les traders durables ne sont pas ceux qui appliquent une méthode rigide, mais ceux qui savent quand ne pas l’utiliser.
Conclusion :
Il n’existe pas de “meilleure stratégie” en trading, car les marchés ne cessent de changer. La performance durable ne vient pas d’une formule magique, mais d’une compréhension profonde des environnements de marché et d’une capacité d’adaptation constante. La pluralité des stratégies n’est pas un aveu de faiblesse, c’est une reconnaissance lucide de la complexité des marchés. En trading, ce n’est pas la stratégie parfaite qui fait la différence, mais la capacité à évoluer au rythme du marché.
Bon trading à tous et toutes 🔔
CHOISIR : BROKER & PROPFIRM PARTIE 2 Dans ma précédente publication, je vous ai parlé des brokers et des critères essentiels pour en choisir un bon.
Aujourd’hui, parlons des prop firms : qu’est-ce que c’est, comment elles fonctionnent et comment les choisir ?
1) Qu’est-ce qu’une prop firm :
Les prop firms sont des sociétés qui mettent à disposition du capital à des traders particuliers l( e plus souvent fictif) à condition que ces derniers réussissent une phase de sélection, appelée challenge, qui est payante.
Ce challenge peut être assimilé à une forme de formation ou de test de compétences.
Si le challenge est validé, le trader accède alors au montant du capital correspondant au compte choisi.
Une fois ce capital entre ses mains, il est soumis à des règles strictes qui détermineront s’il peut :
- conserver le compte,
- effectuer des retraits (sous forme de partage de profits),
- intégrer un cercle très restreint de traders réellement performants.
2) Comprendre le modèle économique des prop firms:
Il ne faut pas oublier une chose essentielle :
les prop firms sont avant tout des entreprises, dont l’objectif est de générer du profit.
La réalité est simple :
la majorité des particuliers attirés par les prop firms sont débutants, et n’ont parfois que très peu d’expérience réelle en trading. Beaucoup se lancent dans des challenges après avoir passé quelques ordres sur une plateforme, sans véritable préparation.
Le résultat est prévisible :
- un taux d’échec très élevé (souvent autour de 90 %),
- des challenges rachetés en permanence,
- et des liquidités importantes générées par ces échecs.
Ces liquidités permettent aux prop firms :
- de financer les quelques traders qui réussissent,
- de verser les rares payouts,
- tout en conservant une marge confortable.
Cela ne signifie pas que le système est une arnaque, mais qu’il faut comprendre à qui il s’adresse réellement.
3) Comment choisir sa prop firm:
Comme pour les brokers, il existe de nombreuses prop firms, proposant globalement la même promesse :
donner accès à un capital plus important pour trader.
Contrairement aux brokers, les prop firms ne sont pas soumises aux mêmes cadres réglementaires, ce qui implique une absence de régulation officielle pour la majorité d’entre elles. La question n’est donc pas “sont-elles régulées ?”, mais comment leur accorder sa confiance.
La démarche doit être la même que pour un restaurant non référencé :
- analyser les avis clients,
- lire les retours d’expérience,
- éviter les promesses irréalistes.
L’ancienneté est également un critère clé.
À avis équivalents, une prop firm présente depuis 10 ou 12 ans aura naturellement plus de crédibilité qu’une structure apparue il y a quelques mois.
4) Tester les conditions de marché
Certaines prop firms proposent des comptes de démonstration (demo).
C’est un point très important, car cela permet de tester en conditions réelles :
- l’exécution des ordres (entrées / sorties),
- les spreads,
- les commissions et swaps,
- la variété des instruments disponibles.
Pourquoi est-ce crucial ?
Parce que toutes les prop firms ne conviennent pas à tous les styles de trading.
Selon que vous faites du scalping, du day trading ou du swing trading, les conditions de marché peuvent faire toute la différence entre une stratégie viable… et une stratégie condamnée.
Conclusion:
Les prop firms peuvent être un outil intéressant, mais elles ne sont ni une solution miracle, ni un raccourci vers la rentabilité.
Comprendre leur fonctionnement, leur modèle économique et leurs contraintes est indispensable pour éviter de transformer une opportunité potentielle… en illusion couteuse
Donc pour faire le points, on regarde :
Les avis
L'ancienneté
On teste les conditions de marché
Bon trading à tous ! 🔔
PÉTROLE : ACHAT VENTE OU NEUTRALITÉ ( LE BIAIS )À la mi-décembre 2025, le pétrole s’inscrit dans un régime macro dominé par l’idée d’un marché plus excédentaire en 2026, ce qui explique des prix plafonnés autour des bas 60$ sur le Brent et des bas/mid 50$ sur le WTI.
Le principal enjeu est l’équilibre offre/demande : les projections publiques (notamment EIA) mettent l’accent sur une hausse des stocks mondiaux à l’horizon 2026, ce qui, mécaniquement, pèse sur la valorisation du baril.
Dans ce contexte, l’arbitrage central devient celui de l’OPEP+, prise entre la défense des prix par des coupes (au risque de céder des parts de marché) et le maintien de la production (au risque d’accélérer l’accumulation de stocks).
Côté demande, la Chine reste déterminante mais plus “opportuniste” : la trajectoire structurelle évoque un plafonnement progressif à moyen terme, tandis qu’à court terme les importations peuvent se renforcer lorsque les prix reculent, via des cycles de stockage qui amortissent certaines baisses sans changer la tendance de fond.
Un autre pivot macro est le basculement de la croissance de demande vers la pétrochimie plutôt que le transport, rendant le pétrole plus sensible au cycle industriel asiatique et aux marges de transformation.
Enfin, malgré ce scénario “fondamental” de surplus, le marché conserve une asymétrie haussière liée aux risques de sanctions, de géopolitique et de logistique (fret, routes maritimes, capacité effective), capables de provoquer des épisodes de tension et des dislocations régionales même si le brut global reste abondant. En résumé, le pétrole aborde 2026 comme un actif davantage gouverné par les stocks et la discipline de l’offre, avec une hausse potentielle surtout “événementielle”, et une trajectoire de fond plutôt contrainte tant que le marché continue de pricer un surplus.
Donc on tend à garder une direction baissière court-moyen terme avec des risques structurelle pouvant faire rebondir le pétrole à tout moment ( conflit armé / blocage des exportations etc )
Source première : Reuters.
L'IMPORTANCE DE FAIRE UNE PAUSE ET DE CÉLÉBRER VOS VICTOIRES➡️Pourquoi prendre le temps de célébrer vos victoires est essentiel
Prendre une pause pour célébrer vos progrès, même modestes, est crucial pour :
- Renforcer votre confiance en vos capacités en reconnaissant vos efforts et vos succès.
- Réduire le risque d’épuisement émotionnel en vous offrant un moment de gratitude et de satisfaction.
- Maintenir une perspective positive pour aborder les défis futurs avec plus d’énergie et de motivation.
➡️Faire le bilan de votre année de trading
Célébrer vos victoires va de pair avec une analyse honnête de vos performances :
- Identifiez vos réussites et les stratégies qui ont fonctionné pour les reproduire en 2026.
- Analysez vos échecs pour en tirer des leçons et éviter les mêmes erreurs.
- Rédigez un bilan personnel en listant vos points forts, vos faiblesses, et les objectifs que vous souhaitez atteindre.
💡 Astuce :
"Célébrer vos victoires, c’est aussi reconnaître votre progression. Prenez un moment pour écrire votre bilan, car un trader conscient de son parcours est un trader prêt à avancer."
COMMENT PRÉPARER LA FIN D'ANNÉE EN TANT QUE TRADER ? ➡️ Comment rester discipliné pendant les fêtes ?
Cette semaine, nous allons explorer des stratégies simples mais efficaces pour :
- Maintenir votre concentration sur vos objectifs malgré les distractions des fêtes.
- Adopter une routine adaptée pour éviter les erreurs liées à l’euphorie ou au relâchement.
- Réduire les risques et éviter le surtrading dans un marché souvent moins actif en fin d’année.
➡️Planifier vos objectifs de trading pour 2026
Nous aborderons également comment :
- Évaluer vos performances de l'année qui finit pour mieux comprendre vos forces et faiblesses.
- Fixer des objectifs réalistes, mesurables et atteignables pour la nouvelle année.
- Ajuster ou concevoir un plan de trading solide qui guidera vos décisions tout au long de 2026.
💡 Astuce :
"La discipline est votre meilleur allié pour clôturer l'année en beauté, et la planification est la clé pour démarrer 2026 avec succès."
Pourquoi l’achat et la vente ne sont-ils pas symétriques?L’un des mythes les plus persistants et les plus coûteux dans le monde de l’investissement est l’idée que l’offre et la demande sont des forces parfaitement symétriques. De nombreux investisseurs supposent qu’une stratégie gagnante dans les tendances haussières peut simplement être inversée pour obtenir des résultats équivalents dans les tendances baissières, en appliquant les mêmes filtres, mais dans le sens contraire.
Certains vulgarisateurs défient même leurs abonnés en leur demandant d’« inverser » la logique de leurs stratégies lorsqu’ils en remettent en question l’efficacité, comme si un faible taux de réussite se transformait magiquement en succès en renversant la logique.
Cette fallacy, combinée à la croyance que les patterns techniques fonctionnent de la même manière dans toutes les temporalités et tous les marchés, conduit à écarter prématurément des stratégies solides. L’erreur consiste à les évaluer en supposant une symétrie parfaite entre les mouvements haussiers et baissiers, en ignorant l’asymétrie structurelle inhérente aux marchés.
Espoir contre Peur
Pour comprendre le marché, il faut comprendre l’émotion humaine qui le motive. Les émotions derrière l’achat et la vente sont radicalement différentes :
• Acheteurs : Ils entrent sur le marché guidés par l’euphorie ou l’espoir d’une croissance. C’est un sentiment qui recherche la stabilité et qui se construit généralement de manière progressive.
• Vendeurs : Ils agissent généralement motivés par la peur. Que ce soit pour protéger des gains face à la moindre fluctuation contraire (aversion au risque) ou pour couper des pertes. La peur est une émotion bien plus instable que l’espoir.
La réalité structurelle
Actions (Indices et Stocks)
Dans ces marchés, la « neutralité » n’existe pas, et en étudiant les données historiques, on observe un net biais haussier.
Une grande partie du volume sur les indices (SPX, Nasdaq) n’est pas spéculative, elle est structurelle (fonds de pension, 401k, contributions mensuelles automatiques). Il existe un flux constant d’argent entrant dans ces marchés et ETF, quel que soit le prix.
Il est également important de garder à l’esprit que de nombreuses entreprises performantes rachètent leurs propres actions, réduisant artificiellement l’offre flottante.
De nombreux investisseurs tentent d’appliquer des figures chartistes (telles que celles popularisées par Richard W. Schabacker ) en attendant la même fiabilité dans les tendances baissières que dans les haussières (ou dans tous les marchés et temporalités). La réalité est que les figures d’épuisement en tendances haussières échouent plus souvent, tout simplement parce que l’inertie naturelle dans les marchés traditionnels est à la hausse.
Dans mes propres tests de systèmes quantitatifs (comme les stratégies Vital Wave , Classic Wave et Reversal Wave , publiées sur mon profil et applicables aux marchés traditionnels), les données sont éloquentes :
• Les stratégies conçues pour les achats (long-only) montrent des rendements historiques solides et cohérents.
• En introduisant des entrées short dans ces mêmes systèmes selon la logique d’« inverser les règles », le taux de réussite s’effondre et la performance statistique est détruite.
Cela s’explique par le fait que, dans un marché à biais haussier, les ventes se produisent dans des contextes bien plus aléatoires et instables, et qu’elles sont en outre moins fréquentes.
Données clés du S&P 500 (depuis 1928) :
• Marchés haussiers : 28 occurrences. Durée moyenne de 4,3 ans et rendement moyen de 149,5 %.
• Marchés baissiers : 27 occurrences. Durée moyenne de seulement 11,1 mois avec une chute moyenne de -35 %.
• Fréquence : Depuis 1984, le S&P 500 n’a clôturé en négatif que 7 années (1990, 2000, 2001, 2002, 2008, 2018, 2022).
Marché Forex
Contrairement aux actions, les devises ne peuvent pas monter ou descendre indéfiniment sans graves conséquences économiques (par exemple, un euro excessivement fort détruirait les exportations européennes). Cela crée un environnement plus équilibré :
• Forces d’autorégulation : Les banques centrales interviennent (via les taux d’intérêt ou directement) pour maintenir des équilibres, agissant comme des « plafonds » et « planchers » invisibles.
• Structure graphique typique : Ici non plus, il n’existe pas de symétrie réelle, mais c’est sans doute un scénario bien plus équilibré que celui des actions et indices traditionnels.
• Structure graphique : Mouvements latéraux, ranges larges, faux breakouts (pièges à haussiers et baissiers).
Bitcoin et cryptomonnaies
Bitcoin présente des périodes de consolidation suivies d’explosions de volatilité, mais conserve un biais haussier à long terme, influencé en grande partie par la corrélation croissante avec les indices comme le S&P 500 (notamment depuis 2020-2021, avec des corrélations positives significatives).
Quant aux altcoins, leur nature est hautement spéculative : elles dépendent largement de Bitcoin (mouvements décalés), ont une faible capitalisation, peu de régulation et sont vulnérables à la manipulation. Cela les rend inconstantes et difficiles à comparer à BTC. Des exceptions comme Monero (XMR) se distinguent par leur plus grande indépendance et leur potentiel technique.
Conclusion et Recommandation
Concevez et évaluez vos systèmes de trading séparément : un optimisé pour les positions longues et un autre (si vous l’utilisez) pour les positions courtes.
Comprendre que les marchés, les temporalités et les directions ne sont pas symétriques vous donnera un avantage significatif. Au lieu de chercher la « stratégie universelle », adaptez vos outils au contexte spécifique. Cette perspective non seulement évite d’écarter des stratégies valides, mais permet aussi d’exploiter les véritables inefficiences du marché.
BOTTOM EN TROIS PHASES POUR LE BTCStructure classique d’un bottom en trois phases
On observe souvent une structure de bottom en trois arrêts successifs :
-Le premier arrêt : il sert à piéger les acheteurs trop pressés, emportés par l’euphorie.
Ils entrent prématurément et se font rapidement stopper.
-Le deuxième arrêt : il vise à déstabiliser les participants restants, en créant du doute et en secouant les positions faibles.
-Le troisième arrêt : c’est la phase de capitulation.
Les derniers vendeurs paniqués sortent, convaincus que le prix va continuer à baisser.
C’est précisément le contraire qui se produit : ce point marque souvent le vrai bottom.
C’est à ce moment-là, après le troisième arrêt, qu’il est pertinent d’entrer en position longue (achat). Ce signal permet de confirmer la formation d’un bottom solide.
Comment trader correctement avec les RSR
Les RSR correspondent aux supports identifiés au niveau des corps de clôture des bougies qui ont généré un momentum clair, généralement accompagné d’une hausse significative du volume.
-La méthodologie pour trader un RSR est la suivante :Identifier précisément vos supports (zones RSR).
-Attendre une prise de liquidité (sweep des lows, arrêt sous le support).
-Attendre une réintégration claire du prix au-dessus du support (confirmation de rejet).
-Prendre position à l’achat une fois ces conditions remplies.
-Viser la résistance suivante (ou la prochaine zone d’offre).
Bon trading !
LES 3 SORCIÈRES Les « trois sorcières », ou triple witching, désignent une séance bien particulière sur les marchés financiers durant laquelle arrivent simultanément à expiration trois types de produits dérivés : les options sur actions, les options sur indices et les contrats futures sur indices.
Cette coïncidence n’a rien de symbolique, elle est purement mécanique. À ces dates, les investisseurs institutionnels (banques, fonds, desks de trading) doivent soit clôturer, soit rouler, soit ajuster des positions parfois très importantes.
Cela génère des volumes inhabituellement élevés et modifie profondément la manière dont les prix se forment durant la séance. Contrairement à une journée “classique”, le marché n’est alors plus guidé par l’analyse technique, les nouvelles économiques ou le sentiment des investisseurs, mais par des flux de couverture et de rééquilibrage liés aux dérivés.
C’est pour cette raison que les niveaux techniques peuvent être franchis sans réaction logique, que les indices semblent attirés par certains prix précis, et que la volatilité augmente souvent en fin de séance. Il est essentiel de comprendre que ces mouvements ne traduisent pas une nouvelle information sur l’économie ou les entreprises, mais simplement une redistribution temporaire des positions. Les trois sorcières ne donnent donc pas de signal directionnel fiable ; elles représentent avant tout un événement de liquidité, qui exige prudence et recul, surtout pour les traders qui n’en maîtrisent pas les mécanismes.
Bon trading à tous et toutes.
Pourquoi Les Traders Perdent Plus D'argent Le Lundi MatinPourquoi Les Traders Perdent Plus D'argent Le Lundi Matin
Un trader ouvre une position à 9h35 le lundi. Une heure plus tard, il clôture avec un stop loss. Même trader, même stratégie, mais mercredi après-midi. Résultat opposé.
Coïncidence ? Non.
Le marché ne change pas seulement en prix. Il change dans l'humeur, la vitesse et l'agressivité des participants. Et cela dépend du temps.
Lundi Matin: Quand Les Émotions Dominent
Le week-end est terminé. Les traders ont accumulé des nouvelles, des opinions, des peurs. La première heure de trading ressemble à une foule lors de soldes. Tout le monde veut entrer en premier.
Le problème est que les décisions sont prises sur les émotions, pas sur l'analyse. La volatilité explose. Les spreads s'élargissent. Les fausses cassures se produisent plus souvent.
Les recherches montrent : le lundi apporte aux traders la plus forte proportion de trades perdants de la semaine. La psychologie joue contre vous dès le début.
Session Asiatique Contre Américaine
À 3h du matin heure de Moscou, Tokyo ouvre. Les mouvements sont fluides, prévisibles. Les fourchettes sont étroites.
Puis Londres se joint. La vitesse augmente. Les volumes triplent.
New York ajoute le chaos. De 16h30 à 18h MSK, le marché devient un champ de bataille. Les nouvelles américaines se chevauchent avec les clôtures de positions européennes.
Différentes sessions nécessitent une psychologie différente. L'Asie aime la patience. L'Europe exige la vitesse. L'Amérique teste les nerfs.
Vendredi Après-Midi: Piège Pour Les Cupides
Le vendredi, les traders sont fatigués. Plus de décisions prises que toute la semaine. Les réserves de volonté sont épuisées.
Après le déjeuner, beaucoup veulent simplement clôturer la semaine. La fermeture massive de positions commence. Les tendances se brisent. Les patterns cessent de fonctionner.
Mais le plus dangereux : le désir de "récupérer pour la semaine". Un trader voit la dernière chance de corriger les résultats. Il entre dans des trades risqués. Augmente la taille du lot.
Les statistiques des courtiers confirment : le vendredi après 15h MSK collecte plus de stop loss que n'importe quel autre moment.
Heures Fantômes
Il y a des périodes où le marché fonctionne techniquement, mais il vaut mieux ne pas trader.
De 22h à 2h MSK, l'Amérique a fermé, l'Asie dort encore. La liquidité chute. Un ordre important peut déplacer le prix de 20 pips.
L'heure du déjeuner européen (13h-14h MSK) est également traître. Les volumes se figent. Le prix marque le pas. Puis tire soudainement dans n'importe quelle direction sans raison.
Trader pendant ces heures ressemble à pêcher dans un étang vide. Vous pouvez rester longtemps et ne rien attraper.
Comment Le Temps Affecte Votre Pensée
La fatigue s'accumule. Le matin, vous analysez chaque trade. Le soir, vous cliquez simplement sur le graphique.
Les biorythmes dictent la concentration. Le pic de performance pour la plupart des gens se situe entre 10h et 12h. Après le déjeuner vient une baisse. À 17h, la capacité d'évaluation des risques chute de 30%.
Ajoutez la caféine, le manque de sommeil, les problèmes personnels. Votre état change la perception de la même situation sur le graphique.
Mercredi: Le Juste Milieu Doré
Les statistiques disent : le mercredi donne les résultats les plus stables.
Les émotions du lundi sont passées. La fatigue du vendredi n'est pas encore arrivée. Le marché fonctionne en mode normal sans surprises.
La plupart des traders professionnels concentrent leur activité juste au milieu de la semaine. Moins de bruit, plus de patterns.
Trouvez Votre Moment
Il n'existe pas de recette universelle. Certains tradent excellemment la session asiatique. D'autres capturent la volatilité de New York.
Tenez un journal non seulement sur les trades, mais sur le temps. Marquez quand vous prenez les meilleures décisions. Quand vous faites des erreurs impulsives.
Après un mois, vous verrez un pattern. Peut-être que votre cerveau fonctionne mieux le soir. Ou les lundis n'apportent vraiment que des pertes.
Adaptez votre emploi du temps à la biologie, pas au désir de trader 24/7.
Le Temps Comme Filtre
Les traders expérimentés utilisent le temps comme un filtre d'entrée supplémentaire.
Bon setup le lundi matin ? Passez. Même setup le mercredi ? Prenez-le.
Signal d'achat à 23h ? Attendez l'ouverture de Tokyo. Pas de sens à risquer avec une faible liquidité.
Le temps n'annule pas la stratégie. Mais il ajoute la probabilité en votre faveur.
Ce Que Disent Les Chiffres
Les données de milliers de comptes montrent des patterns clairs :
Lundi : moins 2-3% à la rentabilité moyenne
Mardi-Jeudi : résultats stables
Vendredi : moins 1-2% après 15h
Sessions nocturnes : non rentables pour 78% des traders
Chevauchement Londres-New York : profit maximal pour les scalpers
Les chiffres ne mentent pas. La psychologie est réelle.
Dernier Mot
Vous pouvez avoir la meilleure stratégie au monde. Mais si vous tradez au mauvais moment, les résultats seront moyens.
Le marché ne change pas. Les gens qui y tradent changent. Leur fatigue, peur, cupidité, inattention.
L'heure du jour et le jour de la semaine déterminent qui est sur le marché maintenant et dans quel état. Et cela détermine comment le prix va bouger.
Choisissez le moment du trading aussi soigneusement que vous choisissez le point d'entrée. De nombreux traders ajoutent des filtres temporels à leurs stratégies ou utilisent des indicateurs qui aident à suivre l'activité des sessions.
ANALYSE BTC Je ne suis pas un expert absolu des cryptomonnaies, mais je vais essayer de vous partager une analyse personnelle du Bitcoin.
Cela reste un avis, rien de plus.
Je vais volontairement changer de l’approche que j’utilise habituellement, car je pense que cet angle de lecture est plus pertinent pour s’y attarder dans le contexte actuel.
Analyse technique:
Sur le long terme, le Bitcoin évolue au-dessus de ses moyennes mobiles longues (MM 100 et MM 200 en weekly).
Cela indique clairement une tendance haussière de fond, solide et toujours intacte.
En revanche, sur des unités de temps plus courtes, un léger flottement se fait sentir.
En daily, une poussée baissière s’est matérialisée, ce qui place actuellement le Bitcoin dans une dynamique baissière de court terme.
Le prix évolue sous une zone de résistance majeure située autour des 90 000 $.
Une trendline baissière peut être tracée en daily, renforçant cette lecture.
De plus, le marché est sorti d’une phase de consolidation par le bas, sous ce niveau clé, et ce depuis maintenant environ trois semaines.
D’un point de vue strictement technique, on peut donc résumer ainsi :
-Haussier en weekly (long terme),
-Baissier en daily (court terme),
ce qui donne un marché haussier de fond, mais neutre à légèrement baissier à moyen terme.
Analyse fondamentale:
Sur le plan macroéconomique, plusieurs éléments soutiennent le Bitcoin.
La fin du QT aux États-Unis (réduction du bilan de la Fed), combinée à une communication de plus en plus accommodante de la Réserve fédérale, suggère que l’inflation n’est plus l’enjeu central, au profit du marché de l’emploi et de la stabilité économique.
Cela se traduit par :
-des conditions de liquidité plus favorables,
-un dollar globalement plus faible,
-sans pour autant entrer dans une phase de QE assumé, ce qui explique l’absence d’euphorie.
Du côté des fondamentaux propres au Bitcoin :
-la création de nouveaux BTC n’a jamais été aussi faible,
-la pression vendeuse structurelle reste limitée.
-Lecture croisée et conclusion
En croisant l’analyse technique et fondamentale, il est raisonnable de dire que le Bitcoin conserve un biais haussier de fond, et qu’il pourrait bénéficier, à moyen terme, d’une politique monétaire plus souple.
Cependant, le comportement actuel du marché est étonnamment calme, surtout pour un actif réputé très volatil.
Cette phase de compression et de contraction des prix traduit une attente, voire une hésitation, des acteurs de marché.
Dans ce contexte, il peut être pertinent de :
-rechercher des zones d’achat progressives,
-tout en restant particulièrement vigilant.
À court terme, le prix reste contenu sous des niveaux techniques solides, et tant que ces zones ne sont pas franchies, la prudence reste de mise.
Le Bitcoin semble donc davantage dans une phase de construction que dans un mouvement directionnel affirmé.
Identifier les Key Levels qui Font Rebondir l’OrDans le trading de l’or, les Key Levels sont les zones qui déterminent si le prix rebondit ou casse franchement.
Ce ne sont ni les indicateurs ni les modèles — mais les zones où le capital institutionnel agit réellement.
Tracer beaucoup de niveaux ne vous rend pas plus en sécurité.
Tracer les bons niveaux est ce qui vous permet de survivre sur XAUUSD.
1. Un Key Level est toujours une ZONE de prix
L’erreur la plus courante est de tracer une ligne fine.
En réalité, les ordres importants sont répartis sur toute une zone, et non sur un seul prix.
👉 Plus la zone est clairement testée, plus la réaction est forte.
2. Les Key Levels où l’or réagit le plus fortement
• Sommets et creux majeurs (H4 – D1)
Zones où le prix s’est retourné violemment ou a lancé une nouvelle tendance.
Ce sont souvent des zones où des ordres institutionnels ne sont pas totalement exécutés.
• Cassure de structure → Retest
Cassure nette → retour en test → rebond rapide et décisif.
Si le retest se fait avec peu de momentum, la probabilité de rebond est très élevée.
• Niveaux psychologiques ronds
1900 – 1950 – 2000 – 2050 – 2100…
Zones où se concentrent TP, SL et ordres en attente.
3. Comment confirmer un Key Level “validé par l’argent institutionnel”
Un Key Level intéressant à trader présente généralement :
Une réaction de prix claire dans le passé
Un départ rapide du prix hors du niveau, sans phase de range
Un retest avec de petites bougies et une pression faible
👉 Cela indique que le capital institutionnel protège toujours ce niveau.
4. Pourquoi l’or chasse-t-il souvent les stops avant de rebondir?
Avant un mouvement puissant, l’or effectue souvent :
des false breaks
une légère cassure de la zone
une mèche rapide suivie d’un rejet
L’objectif est de collecter la liquidité avant le véritable mouvement.






















